Algérie

MOC 0 - CSC 0



Ces derniers ont créé à l’occasion une incroyable ambiance festive. L’entame de jeu a été plutôt lente à cause d’une prudence excessive de part et d’autre, même si du côté du CSC, Yacef a donné le tournis au latéral droit du MOC, Aïche, épaulé à plusieurs reprises par Khenifssi afin de bloquer les incursions de l’attaquant latéral clubiste. Les poulains d’Alves, habitués à un jeu très ouvert, semblaient crispés et tétanisés par l’enjeu. Ferhat a eu une occasion inouïe d’ouvrir la marque à la 40’, lorsque Lemaici effectue un mauvais contrôle sur une balle anodine. Après son crochet, l’attaquant mociste envoie un bolide qui effleurera la transversale de l’invincible Daif.  Dominants en première période, les protégés de Khezzar se replieront un peu dans leur camp, surtout après l’entrée de Chermat. La plus belle occasion a été signée par le joueur clubiste Zemit dont le tir bien armé n’est pas passé loin de la cage gardée par Toual. Les remplacements de part et d’autre n’amélioreront en rien la qualité du jeu. Le CSC a su conserver ainsi son invincibilité et surtout la virginité de la cage de Daif. Alves dans tous ses états Le coach mociste n’était pas du tout content du résultat de la rencontre et il l’a fait savoir à ses joueurs dès son entrée dans les vestiaires. Il se mettra à crier (en brésilien), mais il était évident que la manière de jouer de ses poulains ne lui a guère plue. Du côté du CSC, Khezzar semblait content de l’issue de la rencontre, car pour lui son équipe a préservé son invincibilité. Il dira aussi qu’il a eu l’impression que le MOC avait refusé de jouer et que seule son équipe faisait le jeu sur le terrain.
 


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