La compétition exige des efforts maximaux, quelque soit le type d’action que les joueurs réalisent, pour peu qu’ils soient dans des conditions de jeu dit actifs. La variété des actions de jeu (attaque-défense), leurs durées inégales, va provoquer des recrutements métaboliques différentes selon l’importance de leur durée d’exécution d’abord et du temps de repos par la suite. L’étude de la répartition des durées d’effort et de récupération au cours d’un match constitue un préalable indispensable si l’on veut reproduire au cours de l’entrainement certaines caractéristiques de la charger de la compétition, notamment par l’utilisation de la méthode par intervalle. Ainsi la préparation physique est envisagée en relation étroite avec le niveau et le type de dépense énergétique sollicitée par la compétition. La démarche ici décrite, à notre connaissance inédite, est principalement concentrée sur les résultats des séquences de jeu composées de phases dites actives et d’autres passives. La durée de jeu réel, celles moyennes des phases actives et passives nous ont permis de procéder à la modélisation de l’entrainement par intervalles mettant en évidence les durée de travail et de repos, ainsi que les nombres de répétitions et des séries dans chaque filières énergétique sollicitée par les compétitions de football.
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Posté Le : 20/10/2021
Posté par : einstein
Ecrit par : - Mimouni Said - Maadsi N. - Bedouhene N. - Marssarelli Raphael
Source : Revue Scientifique Spécialisée des Sciences du Sport Volume 3, Numéro 3, Pages 46-52