Mise en service de l'hôpital de 120 lits à Ammi Moussa

Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Miraoui Mohamed, a affirmé ce jeudi à Relizane que l'état était engagé pour «concrétiser une couverture sanitaire répondant aux normes universelles» en la matière.Au cours d'une visite de travail dans cette wilaya, le ministre a précisé que «les efforts étaient en cours pour réorganiser le système national de la santé en vue de garantir la mobilisation de toutes les ressources humaines et matérielles disponibles pour concrétiser les objectifs escomptés». Dans ce sens, le ministre a insisté sur le «rôle que doit assurer l'administration de la santé» pour faciliter la mission du corps médical, notamment la disponibilité de logement, de plateaux techniques à l'intérieur des salles d'opérations et la formation continue, en faisant état de la programmation de sessions de formation pour former les médecins généralistes pour décrocher des diplômes d'études spécialisées, ce qui va permettre, a-t-il estimé d'améliorer leur rendement sur terrain et d'atténuer le déficit en spécialistes enregistré dans ces régions. Miraoui en présence de Mme le wali a procédé à la mise en service de l'hôpital de 120 lits. Ce qui contribuera au renforcement et à la modernisation des prestations et une meilleure couverture sanitaire de toute la région sud-est de la wilaya et permettra également de soulager le secteur sanitaire d'Oued R'Hiou. Par la suite Le représentant du gouvernement a également inspecté l'hôpital de Mendès et a procédé à la pose de la première pierre pour le projet d'une réalisation d'une policlinique à Zemmoura et a chever sa visite par l'inspection de l'établissement hospitalier public d'Ahmed Benhadchi de Mazouna. Dans ce sens, le ministre a insisté sur le «rôle que doit assurer l'administration de la santé» pour faciliter la mission du corps médical, notamment la disponibilité de logement, de plateaux techniques à l'intérieur des salles d'opérations et la formation continue, en faisant état de la programmation de sessions de formation pour former les médecins généralistes pour décrocher des diplômes d'études spécialisées, ce qui va permettre, a-t-il estimé d'améliorer leur rendement sur terrain et d'atténuer le déficit en spécialistes enregistré dans ces régions.