Les tas de déchets notamment plastiques amassés sur les rives du barrage de Béni Haroun dans la région de Ghar Salim (commune de Grarem Gouga, w. de Mila) ont visiblement causé de gros dégâts parmi les oiseaux migrateurs qui fréquentent habituellement la région.
L’alerte vient d’être donnée par la conservation des forêts de la wilaya de Mila.
Fréquentée en moyenne chaque année par 3.000 oiseaux migrateurs, la région de Ghar Salim, zone humide artificielle et 2e site le plus prisé dans la wilaya par ces oiseaux, n’a en effet attiré cette année que quelque 500 individus recensés.
L’amoncellement des déchets sur les rives du plus grand barrage d’Algérie est ainsi devenu une vraie calamité pour la faune et la flore.
Rubrique Radar - Liberté
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Posté Le : 27/01/2019
Posté par : akarENVIRONNEMENT
Ecrit par : Rubrique Radar - Liberté
Source : liberte-algerie.com du samedi 26 janvier 2019