Des membres de l'Intersyndicale ont été conviés hier à une réunion avec le ministre du Travai,l Mohamed El Ghazi, en vue de «promouvoir le dialogue social". Un des participants à cette réunion, Méziane Meriane, président du SNAPEST, un des syndicats de l'Education nous a fait part de son appréciation au terme de cette réunion.Des membres de l'Intersyndicale ont été conviés hier à une réunion avec le ministre du Travai,l Mohamed El Ghazi, en vue de «promouvoir le dialogue social". Un des participants à cette réunion, Méziane Meriane, président du SNAPEST, un des syndicats de l'Education nous a fait part de son appréciation au terme de cette réunion.«La réunion est terminée, mais finalement, il n'a pas été question de la retraite, mais du dialogue social»,nous dira-t-il. «Pour ce qui nous concerne en tant qu'Intersyndicale, nous n'avons jamais refusé le dialogue social, nous sommes victimes de la politique d'exclusion, voire de diabolisation de la part des pouvoirs publics», ajoute Mériane qui se dit «heureux» de cette volonté de dialogue. Mais pour notre interlocuteur, le dialogue signifie l'ouverture de tous les dossiers, dont le plus important, celui de la retraite. Pour lui, c'est une revendication phare de l'Intersyndicale et hors de question de revenir dessus.«Si les syndicats autonomes qui sont les plus représentatifs dans la Fonction publique, l'administration locale, était associée dès le départ, on en serait certainement pas arrivés là», estime encore Mériane pour qui «il n'est pas possible de parler au futur sans prendre en charge le passé.» Toujours est-il que l'Intersyndicale tiendra une conférence de presse le 25 janvier, soit trois jours avant la journée de protestation nationale prévue pour le 28, sous la forme d'un sit-in national. Conférence qui sera suivie quelques jours après, soit le 4 février, de la réunion de l'Intersyndicale.«La réunion est terminée, mais finalement, il n'a pas été question de la retraite, mais du dialogue social»,nous dira-t-il. «Pour ce qui nous concerne en tant qu'Intersyndicale, nous n'avons jamais refusé le dialogue social, nous sommes victimes de la politique d'exclusion, voire de diabolisation de la part des pouvoirs publics», ajoute Mériane qui se dit «heureux» de cette volonté de dialogue. Mais pour notre interlocuteur, le dialogue signifie l'ouverture de tous les dossiers, dont le plus important, celui de la retraite. Pour lui, c'est une revendication phare de l'Intersyndicale et hors de question de revenir dessus.«Si les syndicats autonomes qui sont les plus représentatifs dans la Fonction publique, l'administration locale, était associée dès le départ, on en serait certainement pas arrivés là», estime encore Mériane pour qui «il n'est pas possible de parler au futur sans prendre en charge le passé.» Toujours est-il que l'Intersyndicale tiendra une conférence de presse le 25 janvier, soit trois jours avant la journée de protestation nationale prévue pour le 28, sous la forme d'un sit-in national. Conférence qui sera suivie quelques jours après, soit le 4 février, de la réunion de l'Intersyndicale.
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Posté Le : 17/01/2017
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : L B
Source : www.lemidi-dz.com