Mesbah : «On veut aller au Mondial comme nos prédécesseurs» Equipe nationale

Le latéral gauche de l'EN, Djamel Mesbah, veut disputer une seconde coupe du monde consécutive, lui qui était présent en 2010 en Afrique du Sud sans avoir pris part aux qualifications au premier mondial organisé en Afrique.«On veut aller au Mondial comme nos prédécesseurs. On veut faire le même parcours que les anciens. Notre groupe est très motivé et déterminé à rendre heureux le peuple algérien», a affirmé Mesbah lors de l'émission «Entre nous», diffusée sur Canal Algérie.
L'enfant prodige de Zirout-Youcef (Constantine) est un fervent supporteur des Verts depuis son plus jeune âge. «Je suis né dans la ville de Zirout-Youcef à Constantine et j'ai grandi à Annecy en France.
J'étais un fervent supporteur de la sélection algérienne dès mon jeune âge. Tous les enfants de mon quartier aiment l'O Marseille, mais moi, je supportais l'AJ Auxerre car il y avait dans ses rangs Saïb et Tasfaout.
En Algérie, je supporte un peu le CSC», a révélé le latéral gauche de l'EN et du FC Parme, fan également de Zinedine Zidane et de Cheb Khaled. Mesbah a fait ses débuts avec les Verts en mai 2010.
«C'était lors du match amical face à l'Irlande. C'était un grand moment et un beau souvenir en dépit de la défaite (30)», se remémore-t-il.
«C'était dur pour moi de quitter le Milan AC»
D'autre part, Mesbah garde de bons souvenirs de son bref passage au Milanc et avoue qu'il lui était difficile de quitter ce club. «J'ai passée une année enrichissante au Milan AC que je n'oublierai pas.
C'était émouvant de signer dans un si grand club. C'était une grosse fierté pour moi et pour ma famille. A Milan, je m'entendais bien avec Mexés et Flamini. Les grands champions du club, comme Seedorf et Ibrahimovic, m'ont également aidé.
Ce sont des joueurs très humbles, sympathiques et naturels. Je me suis beaucoup blessé au Milan AC et j'étais obligé de quitter le club. C'était très dur de le faire.
C'était très difficile de partir de Milan. Je suis content d'avoir rejoint le FC Parme qui possède un grand entraîneur et qui nourrit de grandes ambitions.
J'ai fait un bon choix surtout qu'on me cherchait à Parme depuis trois ou quatre ans», raconte l'ancien sociétaire de Lecce, avide d'embrasser une carrière d'entraîneur à la fin de sa carrière professionnelle.