Dans son roman Al Ribbat Al Mouqaddas (Le lien sacré), autobiographique par certains aspects, Tawkiq Al-Hakim parle d'un écrivain d'un certain âge, qui vit seul chez lui, retiré de la vie et des mondanités. L'écrivain égyptien a comparé son héros solitaire à un «rahib el fikr», un ermite de la pensée, qui vit retiré pour des raisons autres que religieuses.L'écrivain algérien Merzak Bagtache est aujourd'hui comme un «ermite de la pensée».
K. B.
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Posté Le : 05/12/2019
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Kader Bakou
Source : www.lesoirdalgerie.com