Algérie

Mertens prend le Japon très au sérieux



La leçon du quart de finale de l'Euro-2016, où la Belgique était annoncée comme grandissime favorite face au pays de Galles, doit être un rappel à toute forme de démobilisation.«Oan ne va pas les sous-estimer parce que c'est une équipe très forte. S'ils en sont là, cela veut dire quelque chose», a prévenu l'attaquant de la Belgique Dries Mertens, hier, à l'approche des 8es de finale du Mondial-2018 contre la sélection nippone à Rostov-sur-le-Don. «On ne va pas les sous-estimer parce que c'est une équipe très forte. S'ils en sont là, cela veut dire quelque chose», a déclaré Mertens, lors d'un point-presse au camp de base des Diables Rouges situé dans la banlieue de Moscou. «Ils ont gagné un match contre Colombie (2-1), c'est une bonne équipe, compacte. Contre la Pologne (défaite 1-0) cela a été un peu différent, mais ils ont un groupe fort», a-t-il ajouté. Après avoir terminé 1er du Groupe G, grâce à ses trois victoires en trois matchs, la Belgique a basculé dans la partie de tableau a priori la plus relevée de la compétition avec notamment la possibilité de tomber en quarts de finale sur le Brésil de Neymar, le favori numéro un du Mondial russe. A condition toutefois de passer l'obstacle nippon en 8es, un adversaire composé de joueurs «qui jouent dans de bonnes équipes», prévient Mertens. «Pour vous dire la vérité, je n'aime pas regarder tant que ça les matchs de foot mais je connais quelques joueurs parce que j'ai joué contre (Keisuke) Honda (ex-AC Milan), (Yuto) Nagatomo (ex-Inter Milan). Ils ont plusieurs joueurs qui jouent dans de bonnes équipes. On ne pense pas gagner ce match facilement», a conclu le buteur de Naples. La leçon du quart de finale de l'Euro-2016, où la Belgique était annoncée comme grandissime favorite face au pays de Galles, doit être un rappel à toute forme de démobilisation, selon Mertens. «Je me rappelle du match contre les Gallois. Tout le monde pensait qu'on allait passer, mais on est sorti du tournoi. Ce sont des choses qu'on va (mettre) dans notre tête pour nous donner de la force», a-t-il assuré.
Brésil
Neymar, Matthäus est fatigué
Avec son style de jeu particulier, basé sur la provocation, l'attaquant Neymar (26 ans, 88 sélections et 56 buts) est amené à subir beaucoup de fautes à chaque match. Et, l'attaquant brésilien est réputé pour sa tendance à en rajouter sur certains contacts. Une mauvaise habitude qui commence sérieusement à agacer le Ballon d'or 1990, Lothar Matthäus. «Il n'est pas nécessaire qu'il provoque autant, qu'il cherche toujours à obtenir un penalty ou qu'il fasse cinq ou six roulades après chaque faute subie. Il devrait arrêter ces sottises...», a lancé l'Allemand auprès de la Deutsche Presse-Agentur (DPA). A vrai dire, et comme constaté depuis le début de ce Mondial, l'ancien Barcelonais n'a pas l'intention de changer de style pour l'instant.


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