Algérie

Menace de grève du personnel navigant Air-france



Faute d'accord avec la direction, les syndicats d'hôtesses et de stewards de la compagnie Air France-KLM menacent de faire grève du 29 octobre au 2 novembre, ont annoncé les organisations syndicales. Plusieurs syndicats ont rejeté lundi soir les propositions "insuffisantes" de la direction de la compagnie, et maintenu leur préavis de grève en prévision des fêtes de la Toussaint. Les négociations achoppent notamment sur le nombre de membres d'équipage présents sur les vols long, moyen et court courriers, qu'Air France souhaiterait réduire. Or, "cette volonté place une hypothèse grave sur la sécurité des passagers à bord des vols d'Air France", juge l'un des syndicats représentant les hôtesses et les stewards, dans un communiqué. Les syndicats contestent aussi le projet de la direction de modifier le système d'évaluation des hôtesses et stewards. Air-France souhaiterait qu'ils soient jugés par leur chef de cabine, plutôt que par des instructeurs, qui sont d'anciens personnels navigants commerciaux, comme c'est le cas actuellement. Mais les syndicats craignent que cette réforme n'aboutisse à une individualisation des rémunérations, en lieu et place de l'avancement automatique actuel. Ils redoutent aussi que cette nouvelle mission ne transforme les chefs de cabine en "chefaillons"."Après huit heures de négociations, la direction n'a toujours pas apporté de réponse satisfaisante à nos revendications", a résumé le Syndicat national du personnel navigant commercial (SNPNC).
Thaïlande
Le 2e aéroport fermé après les inondations
Les inondations qui menacent Bangkok ont touché mardi le deuxième aéroport de la capitale thaïlandaise, Don Muang, où les pistes ont été ferméespour huit jours et les vols commerciaux suspendus.Le capitaine Kantpat Mangalasiri, directeur de l'aéroport, a précisé que les pistes seraient fermées jusqu'au 1er novembrepour assurer la sécurité du trafic.Les eaux ont débordé les digues de sacs de sablepour se déverser dans l'aéroport. On ignorait encore l'étendue de l'inondation dans l'aéroport, utilisé essentiellementpour les vols intérieurs, ni si elle pouvait être maîtrisée.L'aéroport international de Bangkok, Suvarnabhumi, n'était pas touché par les inondations et le trafic était normal. La majeure partie de la ville a jusqu'à présent été épargnée. Mais l'annonce de l'inondation de l'aéroport Don Muang risque d'entamer encore la crédibilité du gouvernement thaïlandais dans cette crise, alors que les autorités n'ont cessé d'envoyer des messages contradictoires sur leur capacité à défendre une capitale de plus en plus inquiète face aux pires inondations qu'ait connu le pays depuis près de 60 ans.La confusion régnait à Don Muang, où les foules de passagers désemparés quittant l'aéroport croisaient les voyageurs qui arrivaient dans le hall avec leurs bagages, sans savoir que les vols avaient été annulés.Alors que certaines parties de la principale route menant au centre de Bangkok ont été submergées, les taxis étaient rares. Certains voyageurs devaient attendre pendant des heures pendant que les compagnies peinaient à organiser des transports en cars.
Faute d'accord avec la direction, les syndicats d'hôtesses et de stewards de la compagnie Air France-KLM menacent de faire grève du 29 octobre au 2 novembre, ont annoncé les organisations syndicales. Plusieurs syndicats ont rejeté lundi soir les propositions "insuffisantes" de la direction de la compagnie, et maintenu leur préavis de grève en prévision des fêtes de la Toussaint. Les négociations achoppent notamment sur le nombre de membres d'équipage présents sur les vols long, moyen et court courriers, qu'Air France souhaiterait réduire. Or, "cette volonté place une hypothèse grave sur la sécurité des passagers à bord des vols d'Air France", juge l'un des syndicats représentant les hôtesses et les stewards, dans un communiqué. Les syndicats contestent aussi le projet de la direction de modifier le système d'évaluation des hôtesses et stewards. Air-France souhaiterait qu'ils soient jugés par leur chef de cabine, plutôt que par des instructeurs, qui sont d'anciens personnels navigants commerciaux, comme c'est le cas actuellement. Mais les syndicats craignent que cette réforme n'aboutisse à une individualisation des rémunérations, en lieu et place de l'avancement automatique actuel. Ils redoutent aussi que cette nouvelle mission ne transforme les chefs de cabine en "chefaillons"."Après huit heures de négociations, la direction n'a toujours pas apporté de réponse satisfaisante à nos revendications", a résumé le Syndicat national du personnel navigant commercial (SNPNC).
Thaïlande
Le 2e aéroport fermé après les inondations
Les inondations qui menacent Bangkok ont touché mardi le deuxième aéroport de la capitale thaïlandaise, Don Muang, où les pistes ont été ferméespour huit jours et les vols commerciaux suspendus.Le capitaine Kantpat Mangalasiri, directeur de l'aéroport, a précisé que les pistes seraient fermées jusqu'au 1er novembrepour assurer la sécurité du trafic.Les eaux ont débordé les digues de sacs de sablepour se déverser dans l'aéroport. On ignorait encore l'étendue de l'inondation dans l'aéroport, utilisé essentiellementpour les vols intérieurs, ni si elle pouvait être maîtrisée.L'aéroport international de Bangkok, Suvarnabhumi, n'était pas touché par les inondations et le trafic était normal. La majeure partie de la ville a jusqu'à présent été épargnée. Mais l'annonce de l'inondation de l'aéroport Don Muang risque d'entamer encore la crédibilité du gouvernement thaïlandais dans cette crise, alors que les autorités n'ont cessé d'envoyer des messages contradictoires sur leur capacité à défendre une capitale de plus en plus inquiète face aux pires inondations qu'ait connu le pays depuis près de 60 ans.La confusion régnait à Don Muang, où les foules de passagers désemparés quittant l'aéroport croisaient les voyageurs qui arrivaient dans le hall avec leurs bagages, sans savoir que les vols avaient été annulés.Alors que certaines parties de la principale route menant au centre de Bangkok ont été submergées, les taxis étaient rares. Certains voyageurs devaient attendre pendant des heures pendant que les compagnies peinaient à organiser des transports en cars.


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