«Il y a une instabilité. Nous avons vu comment cette mobilisation grâce à l'internet peut atteindre de larges proportions», a-t-il dit. Il soutient toutefois que «l'effet domino est une invention des médias, y compris les médias algériens qui sont très libres. Je ne crois pas que cela s'applique à l'Algérie. L'Algérie n'est pas l'Egypte ou la Tunisie», a déclaré le ministre.
Rappelant la manifestation du 12 février dans le centre d'Alger, bloquée par les forces de l'ordre, M. Medelci a estimé qu'il n'y avait ce jour-là «pas plus de 500 personnes». «Déjà samedi (le 12 février, ndlr), on les a empêchés de défiler, mais ils se sont rassemblés sur la place du 1er Mai et là, selon des sources policières fiables,
il n'y avait pas plus de 500 personnes, auxquelles vous pouvez ajouter quelques passants», précise M. Medelci.
«Il a été prouvé que les organisateurs sont une minorité», affirme-t-il.   Â
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Posté Le : 21/02/2011
Posté par : sofiane
Ecrit par : R. P.
Source : www.elwatan.com