Les actions et les aides humanitaires ne sont pas de vains mots chez beaucoup de personnes généreuses qui font tout pour venir au secours et en aide à leurs prochains. Car l'écart des disparités sur tous les plans qui s'est creusé entre pays riches et pays pauvres est énorme.Mais pour ces gens généreux, il n'y a pas de frontières ni de barrières, ils sont constamment à l'écoute et au service de toute l'humanité. Northey Jessica Ayesha, une fée britannique, qui fait partie de cette catégorie de personnes qui ne cesse de se déplacer d'un pays à un autre, surtout dans le continent africain et principalement en Algérie, Madagascar, Mauritanie et Tanzanie pour soutenir et assister les associations caritatives à se maintenir en vue d'être au diapason pour apporter leurs aides effectives et leurs secours aux gens en détresse.
Cette jeune Britannique d'une quarantaine d'années, née au Nigeria, est titulaire de plusieurs diplômes, dont un doctorat en sciences politiques et sociales. Nous l'avons rencontrée au sein de l'association caritative Echifa de Médéa, où elle est considérée comme partie prenante dans la famille des bénévoles qui assistent et accompagnent les malades de la colonne vertébrale et gèrent également le centre de rééducation fonctionnelle, dont le nombre de patients adhérents a atteint le nombre de 13 000 cotisants.
Car, souligne-t-on, la forte amitié liant Jessica Ayesha et Echifa remonte depuis la constitution du dossier de financement par la Commission européenne (CE) pour acquérir les équipements médicaux, où elle était chargée de mission. Son appui était précieux pour le démarrage du centre de rééducation fonctionnelle.
Depuis, on se revoit et on se parle souvent. Aussi, cette bienfaitrice anglaise, ses actions humanitaires ne se sont pas limitées à cela seulement, mais, selon le président, Khelil Moussaoui, elle continue à participer souvent avec des dons personnels en argent au profit du compte de l'association à titre d'aide pour les frais de fonctionnement de l'établissement de soins. Dans son premier ouvrage en langue anglaise, elle traite de l'exemple de la société civile en Algérie, dont plusieurs pages ont été réservées à la réussite et aux grands succès réalisés par la jeune association Echifaa de Médéa.
Elle nous a fait part qu'elle est seulement de passage à Médéa et qu'elle devait se rendre aux universités de Jijel et de Chlef, où elle devait dispenser des conférences thématiques à leur invitation et elle compte revenir prochainement à Médéa pour donner des conférences à l'université Yahia Fares.
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Posté Le : 04/12/2018
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : A Teta
Source : www.elwatan.com