Trois nouvelles infrastructures scolaires
viendront enrichir le secteur de l'Education nationale, précisément dans le
chef-lieu de la wilaya de Médéa, à la prochaine rentrée 2011. Des
infrastructures scolaires dont un lycée, un CEM et un groupement scolaire.
En
effet, lors de sa dernière visite d'inspection, effectuée la semaine dernière
dans la wilaya de Médéa et en marge de ses visites dans les deux centres
d'examen d'entrée en première année moyenne (session de rattrapage) et de
correction des copies de ce même examen ainsi que le centre de correction des
copies de l'examen du baccalauréat, situés tous les trois dans la ville de
Médéa, M. Aboubakr Benbouzid
a visité, accompagné des autorités locales, d'abord le nouveau CEM – Base 05 de
Ketiten, un quartier situé à la périphérie sud-ouest
de la ville de Médéa. Un établissement du cycle moyen qui est en voie de
finition et qui ouvrira ses portes dès la prochaine rentrée scolaire 2011-2012.
L'occasion pour le ministre de donner des orientations et des instructions
liées justement à la finition qui « doit être dorénavant de la meilleure
qualité possible aussi bien à l'extérieur qu'à l'intérieur des établissements »
insistera-t-il. A l'autre extrémité de la ville de Médéa, précisément au niveau
du nouveau pôle urbain qui est situé, à la sortie sud de la ville, M. Aboubakr Benbouzid inspectera le
nouveau lycée 1000/300, en voie de finition lui aussi, qui accueillera ses
premiers élèves, normalement, dès le mois de septembre prochain. Comme
troisième infrastructure scolaire inspectée, en voie de finition également, le
nouveau groupement scolaire de type B1 d'une capacité d'accueil de 240 élèves
et qui est situé au niveau du pôle urbain de la ville de Médéa. Là aussi, le
ministre insistera une fois de plus sur « la nécessité de la très bonne
finition qui doit caractériser tous nos établissements scolaires » dira-t-il.
Trois nouvelles infrastructures scolaires
d'une très belle architecture mais avec, malheureusement, un point noir qui a
mis en colère le ministre. Un point noir qui concerne malheureusement un grand
nombre d'infrastructures aussi bien scolaires que culturelles à travers la
wilaya de Médéa et qui reste l'éternel problème lié au raccordement aux réseaux
du gaz et de l'électricité : « C'est une situation qui ne peut plus durer. Nous
construisons des infrastructures à coups de milliards de dinars et qui demeurent
non opérationnelles bien après leur réception officielle. Cela est inadmissible.
Et là se pose le problème du monopole (N.D.L.R. : détenu par la société de
distribution de l'électricité et du gaz / ex-Sonelgaz).
Ce
problème doit être réglé définitivement et le plus tôt possible ». Une
situation que les responsables locaux de cette entreprise expliquent par le
nombre important des projets réalisés, dans tous les secteurs, à travers la
wilaya de Médéa et qui est en totale inadéquation avec les capacités, humaines
notamment, dont dispose cette entreprise.
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Posté Le : 04/07/2011
Posté par : sofiane
Ecrit par : Rabah Benaouda
Source : www.lequotidien-oran.com