Algérie

MCO : Belaïli débarque à l'hôtel Khéops !



MCO : Belaïli débarque à l'hôtel Khéops !
Le troisième match, un casse-tête pour Eymael. Ouasti : «La concurrence ne me fait pas peur.»
Les joueurs et les autres membres de la délégation du Mouloudia d'Oran ont été agréablement surpris par la visite de leur ancien coéquipier, Mohamed Youcef Belaïli, qui a débarqué avant-hier soir à l'hôtel Khéops de Nabeul. Le joueur, qui était accompagné par son père Abdelhafid et son frère cadet Farid, ont rompu le jeûne du côté de Hammamet El Yasmine situé à moins de vingt kilomètres du lieu de résidence des Hamraoua. C'est à bord d'un véhicule de service, que l'ES Tunis lui a octroyé, que Belaïli et les deux membres de sa famille ont débarqué à l'hôtel. Il était plus précisément 21h15 lorsque le joueur a passé la porte de l'hôtel Khéops.
Haddou surpris !
A son entrée à la réception de l'hôtel, Belaïli a dû croiser en premier son ancien manager Haddou Moulay qui a été très content de la visite surprise du joueur et des membres de sa famille. Depuis, l'information s'est propagée au milieu de ses anciens coéquipiers qui sont venus, à leur tour, saluer le joueur. Les Hichem Chérif, Feddal et Aouedj ont été les premiers à croiser Belaïli dans le hall de l'hôtel Khéops avant que Dagoulou, Bentaleb, Ouamane et Berradja ne viennent à leur tour prendre des nouvelles du joueur qui a profité de la journée de repos que l'EST a donnée aux joueurs pour rendre visite à ses ex-équipiers du Mouloudia d'Oran.
Les fans de l'EST posent avec lui à l'hôtel
L'arrivée de Belaïli n'a pas échappé à l''il vigilant des employés de l'hôtel Khéops dont la plupart sont des fans de la formation des Sang et Or et qui n'ont pas raté cette opportunité pour venir immortaliser et évènement. Plusieurs familles tunisiennes résidentes à l'établissement en question, qui ont reconnu Belaïli, lui ont demandé des photos souvenir. Le joueur s'est senti comme une véritable star alors qu'il n'a pas encore joué un match complet avec l'ES Tunis.
Il a été présenté à l'entraîneur
Haddou Moulay a décidé, par la suite, de présenter le joueur à l'entraîneur Luc Eymael qui a donné quelques conseils à Belaïli. Le coach pense que le joueur a fait le bon choix en optant pour une équipe qui joue pour la Ligue des champions d'Afrique et qu'il doit toujours faire d'une aventure professionnelle en Europe son cheval de bataille. Ensuite, l'entraîneur a dû discuter longtemps avec le père de Belaïli puisque les deux personnes partagent le même boulot. Ils sont tous les deux des professeurs d'éducation physique.
Il a accompagné l'équipe à l'entraînement
Apparemment, très content de rencontrer la première fois ses coéquipiers depuis qu'il a quitté le MCO, Mohamed Youcef Belaïli ne s'est pas contenté d'un simple clin d''il à son ex-équipe. Le joueur, qui a discuté longtemps avec ses amis du Mouloudia, a dû suivre l'autobus des Hamraoua pour se rendre à l'entraînement qui a eu lieu du côté du stade en gazon synthétique de Nabeul. Le joueur a dû suivre quelques instants de la séance avant de quitter les lieux souhaitant bonne chance à ses coéquipiers pour le début de la saison et promettant, ainsi, de venir voir le MCO à l''uvre dès que l'occasion se présentera.
«Ma vie a changé à l'EST depuis ce match face à Chlef»
Bien que le fait de rejoindre un club aussi prestigieux comme l'Espérance de Tunis allait lui ouvrir les portes de la gloire, Belaïli Mohamed Youcef n'allait certainement pas s'attendre qu'un petit quart d'heure face à l'ASO Chlef allait faire de lui l'incontestable star de cette équipe tunisoise qui renferme, pourtant, dans ses rangs des éléments comme Messakni, Chemmam ou bien le Camerounais N'djeng.
C'est une agréable surprise de vous voir ici à l'hôtel Khéops...
Cela fait longtemps que j'avais décidé de venir voir mon équipe et mes amis parmi les joueurs du Mouloudia. C'est tout à fait normal que la présence de l'équipe en Tunisie m'oblige au moins de venir faire un coucou à mes anciens coéquipiers d'autant plus que je porte toujours le MCO dans mon c'ur. L'ambiance de l'équipe m'a beaucoup manqué. Je suis très content et heureux à la fois de retrouver mes amis. J'espère seulement que l'équipe arrivera à réaliser un bon début de saison.
Apparemment, vous aimez toujours ce club '
C'est mon club de toujours ; j'étais supporter du MCO avant de porter ses couleurs et je le serai pour toujours. D'ailleurs, je n'hésite pas à consulter la presse pour avoir les nouvelles de l'équipe. C'est comme ça que j'ai su qu'ils sont ici à l'hôtel. Je souhaite que le stage se déroulera dans les meilleures conditions possibles et que l'équipe arrivera à réaliser une saison honorable et, pourquoi pas, gagner un titre en fin de saison.
Comment avez-vous trouvé l'équipe par rapport à celle de la saison passée '
Je pense que cette équipe renferme dans ses rangs de bons joueurs contrairement à la saison passée où plusieurs nouvelles recrues ne se sont pas adaptées au mode de vie de l'équipe. J'espère que ceux qui sont actuellement avec le groupe vont donner ce plus au Mouloudia.
Comme par exemple '
Des éléments comme Boumechra ou Aoued ne sont pas à présenter. Ils apporteront certainement ce plus. Il y a aussi e gardien de but Dahamane qui a joué avec moi en sélection olympique. Dans l'ensemble, je pense que le MCO renferme une bonne équipe.
Ne regrettez-vous pas certains départs '
Oui bien sûr ; j'aurais aimé que des éléments comme Benattia et El Bahari restent. Le premier est le poumon de l'équipe et l'autre est le meilleur buteur. Je pense qu'il fallait les convaincre à prolonger. Mais bon, ça reste leurs choix et aussi celui de la direction du club.
Passons à votre nouvelle équipe, l'ES Tunis. Apparemment, vous ne regrettez pas votre choix sachant que vous étiez indécis avant la signature '
Non, pas du tout. Avant de quitter le MCO, j'avais plusieurs contacts, même en Europe, mais j'ai dû réfléchir à deux fois avant de prendre une décision concernant mon avenir. Je savais qu'un club de la trempe de l'EST allait m'ouvrir les portes de l'Europe et aussi de la sélection. La preuve, on est pratiquement qualifiés pour le dernier carré de la Ligue des champions d'Afrique. Ce n'est pas tous les jours qu'on arrive à un tel stade de cette compétition.
Après un mois passé à l'EST, parlez-nous de votre nouvelle équipe.
C'est un groupe très jeune. La preuve, notre capitaine qui est Chemmam, n'a que 24 ans. Il existe une ambiance formidable entre les joueurs. Je me suis adapté dès les premiers jours avec ce club grâce à l'hospitalité des dirigeants, des entraîneurs et de mes coéquipiers. Pour preuve, je n'ai pas eu du mal à trouver mes repères dès ma première apparition.
Avant de jouer votre premier match avec l'ES Tunis, vous étiez en butte à la lettre de libération. Comme avez-vous vécu ces moments '
Ce problème m'a fait beaucoup de mal car je ne m'attendais pas à voir la direction me bloquer, moi qui ai grandement contribué au maintien de l'équipe. j'avais fais tout mon possible pour convaincre Djebbari de me libérer, rien que pour jouer ce match contre Chlef car c'était l'occasion pour moi de prouver de quoi je suis capable. Mais, lorsque j'ai dit à Djebbari que je veux jouer contre l'ASO, il m'a libéré tout en me demandant de marquer.
Après ce match contre l'ASO Chlef, comment votre entourage a-t-il réagi par rapport à vous '
J'ai sensiblement senti que ma cote est montée en flèche après ce match. J'ai constaté que mes dirigeants et mon entraîneur étaient fiers de moi. Même les supporters étaient aux anges car non seulement, j'ai réussi à renverser la vapeur au cours de ce match, mais ils ont confirmé qu'ils ont réalisé une bonne affaire en m'engageant. J'étais très heureux d'entendre les supporters scander mon nom lors du match contre l'Etoile de Sahel avec la présence d'une banderole avec mon nom.
Mais face à cette équipe de l'ESS, vous n'avez pas eu la même réussite. Que s'est-il passé '
Ecoutez, ce n'est pas facile de se donner à fond au mois de Ramadhan. L'entraîneur Nabil Maâloul sait bien que je jeûne même le jour du match. C'est pourquoi il ne m'utilise pas comme titulaire. Il faut dire aussi que je ne suis pas encore à 100% sur le plan physique. Ce qui explique aussi le fait que je n'ai pas commencé le match autant que titulaire. Mais je sais dès que le mois sacré tire à sa fin, je serai le postulant au poste de titulaire en attaque.
Vous avez déclaré récemment qu'un émissaire d'Halilhodzic a été présent dernièrement à Radès pour suivre votre prestation. Avez-vous eu d'autres échos à propos de ce sujet '
Non, pas du tout ! Seulement un journaliste m'a filé cette information. Sinon, je ne suis au courant de rien.
Mais vous aimerez bien avoir la convocation pour cette première confrontation face à la Libye '
Je serai très content si Halilhodzic pense à moi et me convoque pour ce match contre la Libye. J'ai hâte à porter les couleurs de l'EN.
Il passe le Ramadhan en famille à Tunis
Youcef Belaïli ne se sent pas dépaysé à Tunis. En effet, le joueur est en train de passer le mois de Ramadhan au milieu des membres de sa famille, ici en Tunisie, avec la présence de ses parents et de ses frères.

Le troisième match, un casse-tête pour Eymael
Ayant réussi à livrer deux matches de préparation, ici en Tunisie, les Hamraoua sont en butte à un sérieux problème de sparring-partners pour boucler cette série de matchs puisque, jusqu'à présent, aucun club n'a donné la confirmation pour ce dernier match. Alors qu'il était question de défier, jeudi prochain, l'équipe d'El Marsa, les dirigeants de ce club se sont désistés sous prétexte qu'ils ont l'intention de libérer leurs joueurs à la veille de l'Aïd. C'est le cas pratiquement pour toutes les équipes du championnat de Tunisie. Ceux qui s'entraînent encore, l'ES Tunis et l'ES Sahel, sont concernés samedi prochain par la Ligue des champions d'Afrique. L'absence d'un adversaire de taille est en train de faire sortir l'entraîneur de ses gonds. Jamais Eymael n'a été aussi furieux que lors de l'avant-dernier jour, car en plus du fait qu'on n'a pas encore fixé un adversaire pour son équipe, le technicien belge est également confronté au problème de terrain puisqu'il refuse de se rendre quotidiennement jusqu'à Hammamet.
Il refuse de jouer à nouveau avec Béni Khellad
En l'absence d'un sparring-partner, la personne chargée de l'organisation du stage de la Tunisie a proposé l'idée de jouer un match de revanche face à Béni Khellad qui a imposé le nul aux Hamraoua lors du match de vendredi passé. Mais le manager général et l'entraîneur, qui souhaitent affronter un grand calibre, ont catégoriquement refusé d'affronter à nouveau cette même équipe. «C'est une question de principe car l'organisateur nous a promis une équipe bien classée», ne cesse-t-on de dire du côté de la délégation oranaise.
Il s'est accroché avec l'organisateur du stage
L'entraîneur, qui n'a pas eu de contact direct avec l'organisateur du stage, s'est accroché avant-hier et a eu un clash avec lui. Les deux personnes ont échangé quelques mots aigres-doux. Le coach belge lui a reproché, en effet, la programmation hasardeuse des terrains et l'absence de confirmation du dernier match amical. Cela se passe au moment où l'organisateur leur reproche le changement fréquent du programme de travail.
Une équipe nigérienne contactée
Selon nos sources, l'entraîneur qui semble avoir plusieurs connaissances ici en Tunisie, aurait pris attache avec une équipe nigérienne qui évolue en élite. Cette équipe, qui est en préparation depuis quelques jours en Tunisie, aurait affronté l'équipe de Gafsa et ses dirigeants ont promis de donner la réplique aux Hamraoua mercredi prochain. Mais c'est le MCO qui doit chercher un terrain dans lequel se déroulera cette confrontation.

Afin de décrocher leurs visas
Eymael, Hans et Dagoulou aujourd'hui à Tunis
Les trois étrangers du Mouloudia d'Oran, à savoir l'entraîneur en chef, Luc Eymael, son adjoint Hans Agbo et l'international centrafricain, Eudes Dagoulou, devront rallier tôt le matin la capitale tunisienne afin de décrocher leurs visas d'entrée en Algérie en prévision du retour de la délégation oranaise à Oran vendredi prochain. Le trio accompagné par le secrétaire de l'équipe se rendra à bord d'un taxi afin de revenir avant la première séance prévue cet aprè- midi à 17h30.
Le Stade Tunsien ou une équipe du Nigeria au programme demain
Selon nos informations, les Hamraoua qui sont à la recherche d'un sparring-partner pour mercredi prochain auraient sollicité deux équipes. Il s'agit d'un club de Ligue 1 du Nigeria et du Stade Tunisien. Ils devaient trancher hier soir.
Un second stage en Algérie
N'ayant pas réussi à programmer ce second stage du côté du Maroc, les Hamraoua devront effectuer un regroupement au pays. C'est après l'Aïd qu'on décidera du lieu du stage.

Bentiba reprend avec le groupe
Grippé il y a de cela trois jours, le jeune Mohamed Bentiba a repris l'entraînement, avant-hier, avec le groupe. Le joueur qui se porte très bien a tenu à rassurer sa famille, surtout son père Fethi qui est un grand fan du Mouloudia d'Oran et qui suit minutieusement les nouvelles du Mouloudia.
L'ASMO, un vrai voisin !
C'est dans l'hôtel Pyramides juste à côté à celui de Khéops que les Asémistes ont élu domicile. Cela va certainement permettre aux joueurs des deux camps de se croiser régulièrement d'autant plus qu'il n'existe pas une séparation entre les deux établissements. C'est dans un cadre très familial que les éléments des deux clubs oranais vont devoir passer ces trois prochains jours puisque le MCO va rentrer le 17 au bercail alors que les Asémistes vont passer les fêtes de l'Aïd ici à Nabeul.
L'équipe type, d'abord, le capitanat après !
Le manager général du Mouloudia d'Oran pense que le sujet de capitanat n'est pas à l'ordre du jour et se dit surpris de constater que cette affaire ait pris de l'ampleur. En effet, Haddou Moulay pense, d'abord, que ce sujet ne le concerne pas en premier puisqu'il s'agit des prérogatives de l'entraîneur en chef, Luc Eymael, mais a quand même apporté face à notre insistance quelques éléments de réponse. «Je pense qu'on est en train de faire une tempête dans un verre d'eau, car le sujet du capitanat n'est pas l'ordre du jour pour la simple raison qu'il faudra, tout d'abord, dégager l'équipe type. Le fait de désigner un capitaine veut dire qu'il sera le titulaire indiscutable alors que l'entraîneur n'a pas encore dégagé son équipe», affirme Haddou Moulay avant d'ajouter : «Pour confier le brassard, il faut à mon avis que l'entraîneur soit sûr que ce joueur va lui assurer au moins 80% des matches de la saison. Or, la concurrence est toujours d'actualité. A mon avis, on connaîtra le capitaine le jour du premier match du championnat.»

Ouasti : «La concurrence ne me fait pas peur»
Zoubir Ouasti est la 13e recrue du Mouloudia d'Oran cet été. Le joueur a paraphé, avant-hier, un contrat de deux ans en faveur du MCO. Le désormais ancien sociétaire de l'ASMO revient dans l'entretien qui suit sur son retour au Mouloudia et sur ses ambitions avec son nouveau club.
Confirmez-vous avoir signé au Mouloudia d'Oran '
Oui, je confirme avoir signé un contrat de deux ans au Mouloudia d'Oran. Les négociations se sont déroulées le plus normalement du monde avec les responsables du club et nous avions trouvé un accord. Je suis content de faire mon retour au club de mon c'ur même si j''été sur le point de rejoindre l'USMBA puis l'ASMO.
Justement, vous étiez sur le point de signer à l'USMBA puis à l'ASMO. Que s'est-il passé alors '
Au début, j'ai été sur le point de signer à l'USMBA. Les négociations avec les responsables de l'USMBA avaient atteint un stade très avancé. Mais mon problème avec l'entraîneur, Bouali, ne m'a pas permis de signer au club. Par la suite, j'ai été proche de revenir jouer à l'ASMO. D'ailleurs, j'ai même pris part au stage de préparation de l'équipe qui s'est déroulée à l'hôtel Beau Rivage mais le destin en a voulu autrement. Les négociations avec les responsables de l'ASMO n'ont pas abouti. Entre-temps, les dirigeants du Mouloudia se sont manifestés pour s'attacher mes services. J'ai, donc, opté pour le Mouloudia. Je voudrais ajouter une chose.
Allez-y...
Ouasti est un enfant du Mouloudia d'Oran. Je porte ce club dans mon c'ur et personne ne peut nier mon amour et mon attachement pour le Mouloudia. Contrairement à ce qui s'est dit ici et là, je n'ai aucun problème avec qui que se soit au MCO. Les supporters savent pertinemment que je porte le Mouloudia dans mon c'ur. C'est pourquoi, ils ont tous voulu me voir porter à nouveau le maillot rouge et blanc du Mouloudia. C'est ce qui m'avait fait énormément plaisir car j'au effectué mon retour au Mouloudia par la grande porte.
Après une année passée à l'ASMO, quel regard portez-vous sur le Mouloudia version 2012/2013 '
Je connais bien la maison Mouloudia même si j'ai passé la saison dernière à l'ASMO. Je suis resté en contact permanent avec les joueurs, les dirigeants et les supporters. A ma connaissance, l'équipe se prépare dans de très bonnes conditions en Tunisie. La direction a procédé à un très bon recrutement cet été et je suis convaincu que l'équipe a les moyens pour jouer les premiers rôles la saison prochaine.
La concurrence sera très rude en défense avec la présence de plusieurs joueurs tels que Zidane, Belabbès, Megharbi et Mazari...
La concurrence ne me fait pas peur ; au contraire, elle me pousse à redoubler d'efforts pour gagner la confiance du coach. Je respecte mes coéquipiers tels que Zidane, Belabbès, Mazari et Megharbi qui sont des amis à moi. Le meilleur d'entre nous jouera. Toutefois, je reconnais que je suis en retard en matière de préparation par rapport à mes coéquipiers. Je vais travailler très dur pour retrouver la plénitude de mes moyens.
Pour conclure...
Je remercie les supporters du Mouloudia d'Oran qui m'ont soutenu et qui ont réclamé mon retour au club. Je remercie le président Djebbari qui m'a fait confiance. Je profite de l'occasion pour demander pardon aux Asémistes. Je souhaite de tout mon c'ur l'accession pour l'ASMO en Ligue 1.


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