Algérie

Mati, président de la Fédération algérienne de judo



Mati, président de la Fédération algérienne de judo
Pour le président de la Fédération algérienne de judo, M. Mati, l'assemblée générale ordinaire (AGO), qui s'est tenue vendredi dernier à la salle des conférences du COA, s'est déroulée dans de bonnes conditions. "Je pense que malgré le fait que cette AGO nous ait pris toute la journée, tout s'est passé dans les meilleures conditions possibles. Les deux bilans moral et financier ont été adoptés à l'unanimité. Nous n'avons rien à cacher, tout a été mentionné dans les bilans qui ont été publiés une semaine avant la tenue de cette assemblée générale sur le site officiel de la fédération", a précisé le président de la FAJ. Et de poursuivre : "Je pense que l'adoption des deux bilans est en soi une gifle aux groupes de perturbateurs qui ont voulu semer la zizanie la veille de cette AGO. Nous avons justifié, à l'issue de cette assemblée, toutes les dépenses. Je pense que ce sont des accusations gratuites. Je suis un homme honnête et tout le monde me connaît. Donc, je ne comprend pas le pourquoi de cet acharnement contre ma personne." Pour rappel, des opposants composés d'anciens membres de la Fédération algérienne de judo (FAJ), qui ont préféré garder l'anonymat, comptaient remettre en cause le bilan financier de la FAJ, dont Liberté détient une copie, et qui devait être proposé aux membres de l'AGO. En effet, ces personnes avaient révélé des anomalies dans ledit bilan. Ils ont mis en exergue les frais des deux stages en commun des deux équipes nationales d'Arabie saoudite et de Libye qui remontent au mois de septembre, non mentionnés selon eux dans le bilan. Nos interlocuteurs affirment que ces deux délégations (saoudienne et libyenne) ont bel et bien payé leur stage en Algérie dont les frais avoisinent les 27 000 euros : "Trouvez-vous normal qu'une somme avoisinant les 27 000 euros ne soit pas dévoilée dans le bilan financier que compte adopter l'AG vendredi (demain, ndlr). Cette somme a été payée par les deux équipes nationales, saoudienne et libyenne, pour un stage en commun avec notre sélection nationale dans la période allant du 23 septembre au 9 octobre. À ajouter à cela un lot d'équipements sportifs (kimonos) ? une dotation de la Fédération internationale de judo (IFJ) ? également non mentionné dans le bilan financier. Nous, en tant qu'anciens responsables à la fédération, posons une seule question : où sont passés les frais des stages effectués en Algérie par l'équipe saoudienne et l'équipe nationale libyenne ' Nous souhaitons uniquement une justification concernant cet argent", se sont interrogés nos interlocuteurs.S. M.NomAdresse email




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