La 11e édition du Séminaire international sur les technologies du béton ? que Lafarge Algérie organise annuellement ? a choisi cette année de traiter de diverses problématiques liées à l'utilisation de ce matériau incontournable dans l'édification des infrastructures routières et autoroutières.La rencontre, organisée hier à Alger, a ainsi permis aux experts et aux différents intervenants du secteur de dresser d'abord un état des lieux des infrastructures routières en Algérie et d'aborder, ensuite, des questions en rapport avec le traitement des sols, l'utilisation du béton, notamment les solutions innovantes développées par les fabricants pour faire face à la rareté de certains matériaux.Pour Eric Meuriot, PDG de Lafarge Algérie, cette rencontre se veut aussi une occasion pour promouvoir des solutions techniques permettant de contribuer efficacement à la réalisation «de villes mieux connectées». Parmi ces solutions, celle lancée cette année par Lafarge, destinée aux ouvrages d'art. Il s'agit du premier ciment gris 52.5 du marché algérien, commercialisé sous la marque Sarie. «Ce produit, conçu pour un usage professionnel afin de répondre de manière efficiente aux besoins de nos partenaires, allie force, rapidité et durabilité, tout en respectant les prescriptions», explique Lafarge.Dans le même contexte, le fabricant a mis au point un autre produit dénommé Chronolia, un béton combinant deux besoins contradictoires. «Véritable accélérateur de performances, le Chronolia allie ouvrabilité et performance à jeune âge», souligne encore Lafarge. Selon le fabricant, ces deux produits «réinventent la solution gain de temps» et forment un duo qui répond aux défis d'exécution du secteur, tout en garantissant les performances requises.Lafarge Algérie n'a pas manqué de rappeler qu'«elle met à la disposition de ses partenaires des produits innovants conçus notamment dans son laboratoire de Rouiba, opérationnel déjà depuis deux ans. Ce laboratoire a pour mission principale de coordonner et d'accélérer l'innovation au service des besoins du marché national algérien», fait-on remarquer. Classé 4e au monde et 1er en Afrique, le laboratoire de Rouiba est «constitué d'une équipe pluridisciplinaire d'ingénieurs, architectes et techniciens issus du secteur de la construction et du monde de l'université algérienne».
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Posté Le : 08/04/2015
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : L M
Source : www.elwatan.com