Algérie

Marches et grèves mercredi



Les détracteurs du secrétaire général de l'UGTA, Abdelmadjid Sidi Said, sont plus que jamais déterminés. Ainsi ilsviennent de lancer un appel à une grevegénérale, le mercredi 22 mai.Les détracteurs du secrétaire général de l'UGTA, Abdelmadjid Sidi Said, sont plus que jamais déterminés. Ainsi ilsviennent de lancer un appel à une grevegénérale, le mercredi 22 mai.
Ce mouvementde débrayage sera aussi accompagné par des marches sur l'ensembledu territoire national. "Nous avons décidé d'observer une grève et une marche le 22 mai", a fait savoir la porte-parole des syndicalistesdissidents, Abdelaziz Hamlaoui. Ce derniera souligné, qu'Alger n'est pasconcernée par les marches prévues."Toutefois, des rassemblements sontprévus au niveau du siège de laCentrale syndicale et la zone industriellede Rouiba", a-t-il précisé.
En prenant en compte le nombre de travailleurs,des différents entreprises quiont participé aux rassemblements organisésjusque-là à Alger, notamment ceuxde l'Etusa, Naftal et Seaal, il faut s'attendre à une paralysie totale. Hamlaouine cache pas en tout cas la déterminationdes syndicalistes qui, d'après lui, "campent sur leur position et ne veulentnullement faire marche arrière,jusqu'au départ de la direction actuellede l'UGTA qui s'enfonce dans sesdérives".
Hamlaoui soutient que ladirection actuelle n'a plus de prérogatives, après l'installation de la commission préparatoire des élections le 27avril dernier. "Comment donc expliquerla suspension d'une quarantaine demembre de la commission exécutive nationale'", s'interroge-t-il. Selon lui,la direction de la Centrale continue à prendre des mesures dans un cadre non réglementaire et, par conséquent, elleest une direction hors-la-loi. Hamlaoui a enfin annoncé, que des sanctions de suspensioncontre les contestataires sont tombées la semaine dernière. "C'est uneréaction, a-t-il expliqué, au dépôt deplainte que nous avons introduit le 2 mai dernier devant la justice, contre unedirection qui ne respecte même pas lesstatuts de l'organisation."
Ce mouvementde débrayage sera aussi accompagné par des marches sur l'ensembledu territoire national. "Nous avons décidé d'observer une grève et une marche le 22 mai", a fait savoir la porte-parole des syndicalistesdissidents, Abdelaziz Hamlaoui. Ce derniera souligné, qu'Alger n'est pasconcernée par les marches prévues."Toutefois, des rassemblements sontprévus au niveau du siège de laCentrale syndicale et la zone industriellede Rouiba", a-t-il précisé.
En prenant en compte le nombre de travailleurs,des différents entreprises quiont participé aux rassemblements organisésjusque-là à Alger, notamment ceuxde l'Etusa, Naftal et Seaal, il faut s'attendre à une paralysie totale. Hamlaouine cache pas en tout cas la déterminationdes syndicalistes qui, d'après lui, "campent sur leur position et ne veulentnullement faire marche arrière,jusqu'au départ de la direction actuellede l'UGTA qui s'enfonce dans sesdérives".
Hamlaoui soutient que ladirection actuelle n'a plus de prérogatives, après l'installation de la commission préparatoire des élections le 27avril dernier. "Comment donc expliquerla suspension d'une quarantaine demembre de la commission exécutive nationale'", s'interroge-t-il. Selon lui,la direction de la Centrale continue à prendre des mesures dans un cadre non réglementaire et, par conséquent, elleest une direction hors-la-loi. Hamlaoui a enfin annoncé, que des sanctions de suspensioncontre les contestataires sont tombées la semaine dernière. "C'est uneréaction, a-t-il expliqué, au dépôt deplainte que nous avons introduit le 2 mai dernier devant la justice, contre unedirection qui ne respecte même pas lesstatuts de l'organisation."


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