Algérie

Marche républicaine



Marche républicaine
Quelque 56 dirigeants d'Etat dont 44 chefs d'Etat et de gouvernement, ainsi que des représentants d'organisations internationales et européennes ont battu le pavé, hier à Paris, pour une marche républicaine historique.Quelque 56 dirigeants d'Etat dont 44 chefs d'Etat et de gouvernement, ainsi que des représentants d'organisations internationales et européennes ont battu le pavé, hier à Paris, pour une marche républicaine historique.Le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, a représenté l'Algérie à cette marche dans la capitale française. Aux environ de 15h30 les chefs d'Etat et de gouvernement défilent en se tenant par les bras en tête de cortège. François Hollande est entouré du président malien et de la chancelière allemande.Ils sont applaudis par la foule qui est évaluée à plus d'un million de personnes. L'Afrique est présente en force. Les présidents gabonais Ali Bongo Ondimba, béninois Boni Yayi, togolais Faure Gnassingbé et sénégalais Macky Sall, devaient être tous présents hier à Paris pour battre le pavé. Il y aura aussi le Nigérien Mahamadou Issoufou, allié de la France dans la lutte contre le terrorisme au Sahel et dans la libération d'otages français ces derniers mois.Le Tchad, autre partenaire de Paris dans cette guerre contre le djihadisme au Sahel, seront pour leur part représentés par des membres du gouvernement. Dans les autres villes françaises, la plupart des rassemblements ont débuté à 14 h, à Cherbourg, Brest, La Rochelle, Strasbourg, Angoulême, Clermont-Ferrand, Metz, Dijon, Saint- Etienne, Toulouse et Bordeaux. Pour le Britannique David Cameron, la menace djihadiste sera « avec nous pour encore beaucoup d'années ».Mais l'Europe « va gagner le défi contre le terrorisme », assure le chef du gouvernement italien Matteo Renzi à des journalistes. « Paris est aujourd'hui la capitale du monde », salue François Hollande. « Le pays tout entier va se lever vers ce qu'il a de meilleur », déclare le président français. Le flux des arrivées place de la République reste constant, témoigne un journaliste sur place. « Ce qui marque, c'est la diversité de la foule », a-t-il commenté.Et d'évoquer une immense diversité d'âges. Beaucoup de gens de confession musulmane sont venus dire qu'ils rejettent les amalgames entre l'islam et le terrorisme.La marche de Paris organisée à l'appel de la quasi-totalité des dirigeants politiques, syndicaux et religieux, intervient après plusieurs attentats sanglants. Au total, 17 personnes ont été tuées en trois jours par trois hommes armés : 12 personnes dans l'attaque contre le journal Charlie Hebdo, une policière tuée par balles près de Paris mercredi, et quatre personnes dans une fusillade, suivie d'une prise d'otages, dans un supermarché dans la capitale française.Les trois assaillants ont été tués vendredi par les forces de l'ordre françaises. Depuis mercredi, Paris et sa région sont soumises à une alerte maximale contre le terrorisme, avec la mobilisation de milliers de policiers et gendarmes qui patrouillent dans les rues, les transports en commun et les principaux lieux publics et touristiques. Dans le sillage de la marche de Paris, le ministre américain de la Justice, Eric Holder, a annoncé la tenue d'un sommet pour combattre l'extrémisme. Il se tiendra à Washington le 18 février 2015.Les 11 ministres de l'Intérieur des principaux pays européens étaient réunis ce dimanche en marge de la gigantesque marche organisée à Paris. Il s'agisssait pour eux et pour le ministre américain de la Justice, Eric Holder d'améliorer la lutte contre le terrorisme.A l'issue de cette réunion internationale, Eric Holder a annoncé que les Etats-Unis accueilleront le 18 février prochain un sommet pour réfléchir aux moyens de lutter contre « l'extrémisme violent dans le monde ». De son côté, le ministre français de l'Intérieur a déroulé la série d'engagements pris lors de la réunion place Beauvau, à Paris. Bernard Cazeneuve a toutefois précisé que ces mesures se situaient dans un cadre bien défini, de façon à ne pas changer la législation européenne et d'approfondir la coopération.Le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, a représenté l'Algérie à cette marche dans la capitale française. Aux environ de 15h30 les chefs d'Etat et de gouvernement défilent en se tenant par les bras en tête de cortège. François Hollande est entouré du président malien et de la chancelière allemande.Ils sont applaudis par la foule qui est évaluée à plus d'un million de personnes. L'Afrique est présente en force. Les présidents gabonais Ali Bongo Ondimba, béninois Boni Yayi, togolais Faure Gnassingbé et sénégalais Macky Sall, devaient être tous présents hier à Paris pour battre le pavé. Il y aura aussi le Nigérien Mahamadou Issoufou, allié de la France dans la lutte contre le terrorisme au Sahel et dans la libération d'otages français ces derniers mois.Le Tchad, autre partenaire de Paris dans cette guerre contre le djihadisme au Sahel, seront pour leur part représentés par des membres du gouvernement. Dans les autres villes françaises, la plupart des rassemblements ont débuté à 14 h, à Cherbourg, Brest, La Rochelle, Strasbourg, Angoulême, Clermont-Ferrand, Metz, Dijon, Saint- Etienne, Toulouse et Bordeaux. Pour le Britannique David Cameron, la menace djihadiste sera « avec nous pour encore beaucoup d'années ».Mais l'Europe « va gagner le défi contre le terrorisme », assure le chef du gouvernement italien Matteo Renzi à des journalistes. « Paris est aujourd'hui la capitale du monde », salue François Hollande. « Le pays tout entier va se lever vers ce qu'il a de meilleur », déclare le président français. Le flux des arrivées place de la République reste constant, témoigne un journaliste sur place. « Ce qui marque, c'est la diversité de la foule », a-t-il commenté.Et d'évoquer une immense diversité d'âges. Beaucoup de gens de confession musulmane sont venus dire qu'ils rejettent les amalgames entre l'islam et le terrorisme.La marche de Paris organisée à l'appel de la quasi-totalité des dirigeants politiques, syndicaux et religieux, intervient après plusieurs attentats sanglants. Au total, 17 personnes ont été tuées en trois jours par trois hommes armés : 12 personnes dans l'attaque contre le journal Charlie Hebdo, une policière tuée par balles près de Paris mercredi, et quatre personnes dans une fusillade, suivie d'une prise d'otages, dans un supermarché dans la capitale française.Les trois assaillants ont été tués vendredi par les forces de l'ordre françaises. Depuis mercredi, Paris et sa région sont soumises à une alerte maximale contre le terrorisme, avec la mobilisation de milliers de policiers et gendarmes qui patrouillent dans les rues, les transports en commun et les principaux lieux publics et touristiques. Dans le sillage de la marche de Paris, le ministre américain de la Justice, Eric Holder, a annoncé la tenue d'un sommet pour combattre l'extrémisme. Il se tiendra à Washington le 18 février 2015.Les 11 ministres de l'Intérieur des principaux pays européens étaient réunis ce dimanche en marge de la gigantesque marche organisée à Paris. Il s'agisssait pour eux et pour le ministre américain de la Justice, Eric Holder d'améliorer la lutte contre le terrorisme.A l'issue de cette réunion internationale, Eric Holder a annoncé que les Etats-Unis accueilleront le 18 février prochain un sommet pour réfléchir aux moyens de lutter contre « l'extrémisme violent dans le monde ». De son côté, le ministre français de l'Intérieur a déroulé la série d'engagements pris lors de la réunion place Beauvau, à Paris. Bernard Cazeneuve a toutefois précisé que ces mesures se situaient dans un cadre bien défini, de façon à ne pas changer la législation européenne et d'approfondir la coopération.




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