Maloula, le roman inachevé, publié à titre posthume, de Kheireddine Ameyar, fait, certainement, partie des «trésors oubliés» de la littérature algérienne.Le journaliste et ancien directeur du quotidien algérien La Tribune parle, au début de son ouvrage, de Maloula, le village syrien oublié qui parle encore une langue oubliée : l'araméen.
Le roman de Kheireddine Ameyar est comme une grande fresque historique, un peu à la manière de Samarcande d'Amin Maalouf.
Maloula, un roman inachevé, comme... une symphonie inachevée !
K.?B .?
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Posté Le : 01/12/2020
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : R C
Source : www.lesoirdalgerie.com