Elle compte parmi les municipalités les plus déshéritées, ne survivant que grâce au budget alloué par l'Etat.
Dans les coulisses de la mairie, certains élus parlent du blocage auquel est arrivé l'assemblée. D'autres évoquent la léthargie qui caractérise les différentes commissions, l'absence de dialogue et la prise de décision unilatérale. Le hic est que la majorité revient au FLN qui détient cinq sièges sur les sept que compte l'assemblée, une hégémonie qui n'a pas plaidé pour le rapprochement des frères ennemis. «Ce climat de tension s'est répercuté sur la gestion des affaires de la commune», dira un citoyen, qui ajoute que «depuis sa promotion en 1984, l'APC de Aïn Tassera vit au rythme des dissensions et des connivences dans des région ou l'esprit tribal l'emporte sur toutes les considérations ». Dans un point de presse, le wali avait menacé de trouver d'autres alternatives si le blocage persistait.                                                              Â
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Posté Le : 06/03/2011
Posté par : sofiane
Ecrit par : A. D.
Source : www.elwatan.com