Algérie

Makri part en guerre contre l'alliance présidentielle



Le président du MSP, Abderazak Makri, est dans tous ses états. Il déterre la hache de guerre et part à l'assaut des partis de l'alliance présidentielle.Le président du MSP, Abderazak Makri, est dans tous ses états. Il déterre la hache de guerre et part à l'assaut des partis de l'alliance présidentielle.
Les quatre partis formant cet ensemble politique, à savoir le FLN, le RND, leMPA et TAJ, sont très critiqués par le chefde file du MSP qui les accuse de vouloirjuste prolonger le mandat du président dela République. Il cible particulièrement leleader de TAJ, Amar Ghoul. Et pour cause,c'est ce dernier qui est à l'origine d'uneinitiative politique appelant à la tenue d'une conférence nationale placée sous le
patronage du président de la République,Abdelaziz Bouteflika, pour promouvoirune "Algérie nouvelle". Cette initiative,qui semble avoir suscité l'entière adhésiondes trois autres partis, ne fait pas des électionsprésidentielles une priorité et AmarGhoul l'a explicitement souligné. Entermes plus clairs, cette échéance électoralepourrait être reportée si la Conférencenationale entérine la proposition. Si telserait le cas, le mandat du présidentBouteflika serait alors prolongé. Le comblec'est que même Abderazak Makri soutientl'idée d'un report des élections présidentielles,une idée qui est à la base de soninitiative politique. Autant dire que lesdeux initiatives parlent du report de ce rendez-vous électoral. Mais alors pourquoi,dans ce cas, Makri rue-t-il dans les raccards' Le président du MSP, qui mène, depuis,une véritable offensive pour expliquer lefond de son initiative, est revenue, unefois encore, sur la question avant-hierjeudi non sans épingler, dans la foulée, lespartis de l'alliance présidentielle.
"Il n'y a aucun sens à ce que des partis de la coalitiontambourinent pour la tenue d'uneconférence, sans fournir aucun effort en faveur du dialogue pour que l'opposition réelle y participe. L'idée de la tenue d'une conférence est venue de plusieurs personnalités et partis de l'opposition qui a été détournée ensuite par les partis de la coalition sur injonction comme d'habitude, pour ensuite la diluer" a, en effet, indiqué Makri dans un des tweets qu'il a posté ce jeudi sur son compte. Dans un autre tweet il hausse le ton en rejetant la démarche de l'alliance présidentielle. Pour lui, la prolongation du mandat du président Bouteflika ,"comme le répète les partis de la coalition, est la continuité, sans élections, ce qui constitue une atteinte à la Constitution, sans aucune légitimité.
C'est un projet que nous ne pouvons absolument pas accepter". Les 4 partis de l'alliance présidentielle, qui tiendront dans le courant de la semaine prochaine une réunion au sommet comme l'a déjà annoncé Amara Benyounes le leader du MPA, oeuvrent actuellement dans le sens du report des élections et de la prolongation du mandat du président quitte a amender laConstitution, pour ce faire. Makri indique que son idée de reporte cette échéance électorale est loin d'avoir les mémés motivations et il s'en explique en indiquant que ce "projet politique repose sur deux essentiellement sur deux fondements ». Le premier est d'entamer « des réformes profondes et sérieuses durant une année, même sans le président actuel" "Le second est le consensus national qui n'a de sensqu'avec la présence de l'opposition".
Les quatre partis formant cet ensemble politique, à savoir le FLN, le RND, leMPA et TAJ, sont très critiqués par le chefde file du MSP qui les accuse de vouloirjuste prolonger le mandat du président dela République. Il cible particulièrement leleader de TAJ, Amar Ghoul. Et pour cause,c'est ce dernier qui est à l'origine d'uneinitiative politique appelant à la tenue d'une conférence nationale placée sous le
patronage du président de la République,Abdelaziz Bouteflika, pour promouvoirune "Algérie nouvelle". Cette initiative,qui semble avoir suscité l'entière adhésiondes trois autres partis, ne fait pas des électionsprésidentielles une priorité et AmarGhoul l'a explicitement souligné. Entermes plus clairs, cette échéance électoralepourrait être reportée si la Conférencenationale entérine la proposition. Si telserait le cas, le mandat du présidentBouteflika serait alors prolongé. Le comblec'est que même Abderazak Makri soutientl'idée d'un report des élections présidentielles,une idée qui est à la base de soninitiative politique. Autant dire que lesdeux initiatives parlent du report de ce rendez-vous électoral. Mais alors pourquoi,dans ce cas, Makri rue-t-il dans les raccards' Le président du MSP, qui mène, depuis,une véritable offensive pour expliquer lefond de son initiative, est revenue, unefois encore, sur la question avant-hierjeudi non sans épingler, dans la foulée, lespartis de l'alliance présidentielle.
"Il n'y a aucun sens à ce que des partis de la coalitiontambourinent pour la tenue d'uneconférence, sans fournir aucun effort en faveur du dialogue pour que l'opposition réelle y participe. L'idée de la tenue d'une conférence est venue de plusieurs personnalités et partis de l'opposition qui a été détournée ensuite par les partis de la coalition sur injonction comme d'habitude, pour ensuite la diluer" a, en effet, indiqué Makri dans un des tweets qu'il a posté ce jeudi sur son compte. Dans un autre tweet il hausse le ton en rejetant la démarche de l'alliance présidentielle. Pour lui, la prolongation du mandat du président Bouteflika ,"comme le répète les partis de la coalition, est la continuité, sans élections, ce qui constitue une atteinte à la Constitution, sans aucune légitimité.
C'est un projet que nous ne pouvons absolument pas accepter". Les 4 partis de l'alliance présidentielle, qui tiendront dans le courant de la semaine prochaine une réunion au sommet comme l'a déjà annoncé Amara Benyounes le leader du MPA, oeuvrent actuellement dans le sens du report des élections et de la prolongation du mandat du président quitte a amender laConstitution, pour ce faire. Makri indique que son idée de reporte cette échéance électorale est loin d'avoir les mémés motivations et il s'en explique en indiquant que ce "projet politique repose sur deux essentiellement sur deux fondements ». Le premier est d'entamer « des réformes profondes et sérieuses durant une année, même sans le président actuel" "Le second est le consensus national qui n'a de sensqu'avec la présence de l'opposition".


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