Algérie

Mais ! dans quel monde vivons-nous !


La réponse à cette question est bien simple, la terre bien sûr, mais lorsque j'entends le mot monde, cela me rappelle la belle chanson du regretté Johnny Hallyday avec son refrain inoubliable et ses belles paroles magnifiques qui disent : «Avec une seule poignée de terre, il a créé le monde, et tout en faisant sa ronde, il a créé la terre, le seigneur jugea en somme qu'il était temps de faire le minimum, il créa la femme et l'amour qu'elle a donné aux hommes ! allusion faite à Adam et Eve (Adam oua Haoua) nos premiers ancêtres qui se la coulaient douce dans le Paradis avec ses belles verdures, ses arbres de tous genres, ses nombreuses rivières dont le Tout Puissant nous a révélé dans le saint Coran, mais pour une histoire d'interdit de ne pas toucher à un arbre, le pommier, ils furent bannis à jamais de l'Eden éternel : de l'immortalité pour devenir mortel.Aussi Dieu nous a donné la vie et chacun de nous n'a pas choisi le lieu de sa naissance, la ville, le pays où il est censé vivre............ mais il nous a donné des yeux pour voir, des oreilles pour écouter, des narines pour respirer et une cervelle pour admirer tout ce qui est beau malheureusement l'inconscience et la bêtise humaines ont dans leur ?uvre destructice, saccagé tout ce qui était beau auparavant, Allah Ghallab ! L'Algérie est un beau pays et comme l'a toujours chanté le regretté Salah Saadaoui, Azazga est mon village, une façon à lui de montrer aux Algériens de chanter leurs villes et villages. Que chanteront les Habitants de la localité de Bordj-Ménaïel, eux qui ont donnés une image hideuse de leur ville devenant par là une agglomération sale, une ville poubelle, une ville polluante, et tous les qualificatifs lui vont bien, elle dont on disait autrefois que c'est » une charmante et belle localité vue de l'extérieur mais pleins de crotins de chevaux à l'interieur dans un livre parus de Mouloud Feraoun » Et dire qu'autrefois, la ville de Bordj-Menaïel était un havre de paix, une commune verdoyante où le commun des mortels trouvait la sécurité, la détente et la joie de vivre. Hélas, plus rien de tout cela, un spectacle de désolation s'offre aux regards et cela dure depuis plusieurs années, des semaines, des mois passent, puis des années et rien ne change pour la ville de Bordj-Ménaïel, ce chef- lieu de daira. Nous ne le dirons jamais assez que la ville de Bordj-Ménaïel est sale, elle offre l'image hideuse d'un chef -lieu de daira pollué, malpropre, jonchésde détritus et autres saletés, le long des trottoirs et- dans les cités, devant les enceintes éducatives (écoles, colléges et lycées) devant le portail de l'institution étatique de la daira, avec le plus souvent, surtout en période hivernale, des flaques d'eaux pour ne pas dire des mares aux eaux stagnantes dégageant des odeurs désagréables, sont là pour pianter un décor indigne d'un chef- lieu de commune ou de daira- Grave et même trop grave ce qui se passe dans cette localité Historique qui en laps de temps est devenue une ville poubelle, une localité mousskha comme on dit dans le jargon dialectal arabe bien de chez nous, Que ce soit à l'interieur ou à l'exterieur, ce sont des collines d'ordures ménagéres qui nous frappent, des odeurs nauséabondes vous prennent carrément à la gorge et vous coupent la réspiration à des kilométres à la ronde, des odeurs puantes, insupportables et étouffantes. Et dire que dans un passé récent ou lointain, nous avons eu l'illusion de revivre les belles époques post-indépendance pour ne pas dire coloniales, ou nos villes que nous avons connues à travers les cartes postales en noir et blanc, étaient de véritables jardins botaniques, surtout au printemps avant que les plantes et autres arbres soient déracinés par d'inconscients responsables en quete d'espaces et pour souvent, l'élargissement des voies comme celui qui est posé à terre sur la route qui mene au château d'eau deevant la placette djenina. Et pendant ce temps, ni nos gouvernants, à l'echelle locale, ni nos representants, qu'ils soient députés ou sénateurs ou même les élus locaux et de wilaya, ne donnent l'impression de chercher à améliorer le cadre de vie du citoyen et Dieu sait que les solutions existent, surtout concernant le visage hideux qu'offre l'ancien tissu urbain de la ville. Ainsi outre le quotidien déjà difficile à supporter coté financier avec la cherté de la vie, outre la bureaucratie que l'Algérien subit au quotidien et qui empoisonne sa vie, meme son environnement, ce milieu naturel dans lequel il evolue et qui aurait pu le soulager un tant soit peu, n'existe plus ! La question qui se pose : Comment un beau pays comme l'Algérie, un veritable paradis sur terre est il devenu un enfer ! la même question est posée pour la population de Bordj-Ménaiel qui doivent réagir avant qu'ils ne soit trop tard popur la future génération montante en leur évitant les maladies d'hypertensions, de diabètes, d'angoisse, du stress qui ne cessent d'augmenter chaque jour ! La commune de Bordj-Ménaiel est livrée à elle-même, cette cité, plus connue par la ville des coquelicots, autrefois accueillante et où le civisme et les bonnes manières sont de rigueur, fait fuir actuellement les visiteurs. On ne comprend plus rien à ce brusque changement qui voit la ville se transformer en un immense dépotoir à ciel ouvert et ou le spectre d'un risque d'épidémie est plus qu'envisageable. Il y'a urgence en la matiére et un S.O.S est lancé, l'insalubrité envahit la ville des coquelicots qui croule en de nombreux endroits sous les immondices- L'insalubrité engendre inexorablement des odeurs nauséabondes, mais aussi des risques de maladie de toutes sortes polluant les eaux et l'environnement. Les rats, les chiens, les chats sont de la partie, les Ménailis sont éxcédés par les odeurs insoutenables et asphyxiantes qui se dégagent à travers les nombreux dépotoirs. Il faut un changement rapide......
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