Tout en appelant la population à "ne pas céder à la panique créée par la rumeur", le wali a assuré qu'une équipe de spécialistes dans la gestion des catastrophes naturelles de l'université de Batna feront des déplacement sur place. Les mesures préventives arrêtées à la suite des secousses telluriques enregistrées dans la région de Merouana sont pour le moment maintenues, a indiqué, jeudi, le wali, Hocine Mazouz.Tout en appelant la population à "ne pas céder à la panique créée par la rumeur", le wali a assuré qu'une équipe de spécialistes dans la gestion des catastrophes naturelles de l'université de Batna feront des déplacement sur place. Les mesures préventives arrêtées à la suite des secousses telluriques enregistrées dans la région de Merouana sont pour le moment maintenues, a indiqué, jeudi, le wali, Hocine Mazouz.Les trois postes avancés mis en place par la Protection civile dans les quartiers Chidi, Berahbet et Talkhamt, dans la commune de Merouana, seront maintenus en alerte en même temps que se poursuivront les opérations d'évaluation des dommages dans les constructions touchées, a souligné le chef de l'exécutif local.Des "instructions fermes" ont été données par M. Mazouz, qui présidait une rencontre de coordination consacrée à l'examen des rapports élaborés par la Protection civile et la direction de l'Action sociale, à l'effet d'entamer dans l'immédiat les travaux de réfection et de consolidation, notamment dans les établissements scolaires affectés.Tout en appelant la population à "ne pas céder à la panique créée par la rumeur", le wali a assuré qu'uneéquipe de spécialistes dans la gestion des catastrophes naturelles de l'université deBatna effectuera, à partir de samedi prochain à Merouana et Ras Layoune, des visites de terrain, en coordination avec les élus et les autorités locales. Le directeur de la Protection civile, Dahmane Chelihi, a indiqué, de son côté, que la commission technique, qui a déjà a inspecté, jusqu'à mercredi soir, 519 constructions dans les daïras de Merouana et de Ras Layoune, poursuivra sa mission dans toute la zone affectée par les répliques.Selon Mehdi Kala, directeur du laboratoire de gestion des grandes catastrophes et d'aménagement du territoire de l'université Hadj-Lakhdar de Batna, les répliques récurrentes vécues par la région de Merouana "procèdent d'une activité sismique normale" qui ne doit pas susciter d'inquiétudes. Pour cet universitaire, des secousses qui s'étendent sur plusieurs jours, sont "bien moins dangereuses que les séismes de forte magnitude se produisant en une seule fois". Il a insisté sur l'importance de sensibiliser les citoyens aux conduites à tenir dans ce gendre de situations. Pas moins de 28 répliques, d'une magnitude oscillant entre 2,2 et 4,8 sur l'échelle ouverte de Richter, ont été enregistrées dans la région de Merouana entre le 15 et 25 mars en cours.Les trois postes avancés mis en place par la Protection civile dans les quartiers Chidi, Berahbet et Talkhamt, dans la commune de Merouana, seront maintenus en alerte en même temps que se poursuivront les opérations d'évaluation des dommages dans les constructions touchées, a souligné le chef de l'exécutif local.Des "instructions fermes" ont été données par M. Mazouz, qui présidait une rencontre de coordination consacrée à l'examen des rapports élaborés par la Protection civile et la direction de l'Action sociale, à l'effet d'entamer dans l'immédiat les travaux de réfection et de consolidation, notamment dans les établissements scolaires affectés.Tout en appelant la population à "ne pas céder à la panique créée par la rumeur", le wali a assuré qu'uneéquipe de spécialistes dans la gestion des catastrophes naturelles de l'université deBatna effectuera, à partir de samedi prochain à Merouana et Ras Layoune, des visites de terrain, en coordination avec les élus et les autorités locales. Le directeur de la Protection civile, Dahmane Chelihi, a indiqué, de son côté, que la commission technique, qui a déjà a inspecté, jusqu'à mercredi soir, 519 constructions dans les daïras de Merouana et de Ras Layoune, poursuivra sa mission dans toute la zone affectée par les répliques.Selon Mehdi Kala, directeur du laboratoire de gestion des grandes catastrophes et d'aménagement du territoire de l'université Hadj-Lakhdar de Batna, les répliques récurrentes vécues par la région de Merouana "procèdent d'une activité sismique normale" qui ne doit pas susciter d'inquiétudes. Pour cet universitaire, des secousses qui s'étendent sur plusieurs jours, sont "bien moins dangereuses que les séismes de forte magnitude se produisant en une seule fois". Il a insisté sur l'importance de sensibiliser les citoyens aux conduites à tenir dans ce gendre de situations. Pas moins de 28 répliques, d'une magnitude oscillant entre 2,2 et 4,8 sur l'échelle ouverte de Richter, ont été enregistrées dans la région de Merouana entre le 15 et 25 mars en cours.
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Posté Le : 28/03/2015
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : RAYAN NASSIM
Source : www.lemidi-dz.com