Les conseils des diététiciennes
Ventre plat
Les vacances d’été arrivent à grands pas, vous avez hâte de ressortir vos tenues légères et votre maillot de bain.
Bref c’est le bon moment pour prendre soin de vous et vous sentir bien. Fini les complexes, un ventre gonflé n’est pas une fatalité. Voici quelques astuces pour garder ou retrouver un ventre plat.
Ventre plat : en pratique
Pour vous aider à retrouver une silhouette harmonieuse et un ventre plat, nous vous proposons quelques règles faciles à suivre au quotidien :
1. Faites le tri dans votre assiette
Certains aliments comme les choux, les petits-pois ou encore les légumineuses ralentissent le transit intestinal et favorisent les ballonnements : limitez-en la consommation et privilégiez les fruits et les légumes riches en fibres, sans pour autant abuser des crudités qui peuvent irriter votre intestin.
Prenez le temps de bien mâcher, de manger lentement et dans le calme.
Evitez les repas trop copieux et/ou trop gras ainsi que les boissons sucrées gazeuses.
2. Restez tonique
Même si elle n’est pas intense, toute activité physique pratiquée régulièrement et à votre rythme vous sera bénéfique sur le long terme.
Tonifiez en douceur les muscles de votre sangle abdominale via des exercices simples : pédalage, séries d’abdominaux, aquagym.
Au quotidien, profitez de la moindre occasion pour bouger : prendre l’escalier, préférer la marche à la voiture, ressortir votre vélo.
Outre le sport, pensez aussi que les massages du ventre et la respiration abdominale stimulent la digestion tout en évacuant le stress générateur de ballonnements.
3. Régénérez-vous
Des études scientifiques américaines ont mis en évidence que les personnes qui dorment minimum 6 à 7h par nuit sont moins sujettes à la prise de poids abdominale que les petits dormeurs. En effet, le repos joue un rôle primordial sur le bon fonctionnement du métabolisme de votre organisme : votre appétit se régulera naturellement.
Prévenez également la constipation, source de ballonnements, en vous hydratant suffisamment : buvez un minimum de 1L d’eau par jour.
En cas de problèmes de digestion, préférez les eaux riches en bicarbonates (Saint Yorre®, Vichy Célestins®, Arvie®, Quéza®…).
Pour celles et ceux sujets aux paresses digestives, orientez-vous vers des eaux riches en magnésium (Hépar®, Contrex®, Courmayeur®, Rosanna®…).
4. Pensez aux plantes
Pour une réussite optimale, de nombreux compléments alimentaires*, disponibles sous forme de gélules, tisanes ou solutions, peuvent vous aider à atteindre votre objectif :
- Body Fibres : en absorbant les graisses ingérées, il stimule le transit intestinal et limite les ballonnements.
- Chardon Marie Bio : en stimulant le drainage hépatique, il procure un bien-être digestif.
- Criste Marine : riche en potassium, il intervient dans la contraction musculaire et favorise le maintien d’un ventre plat.
- Curcuma Bio : en activant la fonction hépatique, il améliore la digestion.
- Radis Noir Bio : en favorisant la sécrétion de la bile, il permet d’éliminer les toxines et autres déchets de l’organisme.
Bien s'hydrater
Article ajouté le 09/07/2012
L’hydratation
Au quotidien, boire est un geste naturel que nous faisons spontanément sans même y réfléchir. En effet, le corps humain étant constitué à plus de 60% d’eau, nous ne pourrions pas vivre plus de quelques jours sans boire. L’eau devant être sans cesse renouvelée, comment assurer au mieux vos besoins hydriques ?
L'hydratation : en pratique
L’eau se répartit à travers tout le corps. Elle fait partie intégrante de la structure de nos tissus (organe, peau, muscles, sang etc.).
Elle participe au bon fonctionnement de nos organes, à l’élimination des toxines au niveau des reins et contribue à la régulation de la température corporelle via la respiration et la sudation.
Les besoins et les pertes étant nombreux (2,5l par jour), il est donc indispensable de les compenser en s’hydratant suffisamment.
Il est important de s’hydrater sans attendre la sensation de soif puisque ce phénomène est déjà le signal d’alerte d’une déshydratation.
Attention une déshydratation peut vite s’installer. Soignez vigilant et attentif aux symptômes les plus courants : la soif, les maux de tête, les étourdissements, la fatigue, les crampes.
S’hydrater passe aussi bien par les aliments que par les boissons. En effet, les aliments consommés quotidiennement apportent en moyenne 1l d’eau par jour. Il est donc vital de compléter les apports hydriques avec les eaux de boisson, soit en moyenne 1,5l. Pour optimiser au mieux votre hydratation, mieux vaut répartir votre litre et demi d’eau tout au long de la journée.
La boisson idéale reste l’eau qui complète l’alimentation en oligo-éléments et en minéraux. Certaines boissons (soda light, jus de fruit, sirop, alcool etc.) seront consommées uniquement à l’occasion et pour vous faire plaisir. Et d’autres pourront compléter l’eau naturelle (eaux gazeuses, infusions, thé, café léger, bouillons de légumes etc.).
Quelle eau choisir ?
Différentes eaux sont à notre disposition mais toutes n’ont pas la même qualité. Comment vous y retrouver ?
- L’eau du robinet : elle provient d’une nappe phréatique ou d’une rivière. Elle est tout à fait saine car elle est traitée et régulièrement contrôlée. Sa composition et son goût changeront néanmoins d’une région à l’autre selon la composition des roches et des sols qu’elle traverse.
- L’eau de source : elle est d’origine souterraine et sa composition en éléments minéraux est variable. Elle est saine et protégée contre les risques de pollution. Lors de son conditionnement, toute adjonction est interdite excepté celle de gaz pour les eaux pétillantes.
- L’eau minérale naturelle : elle est également issue de nappes souterraines mais contrairement aux eaux de source, sa composition doit rester stable dans le temps et ne pas varier selon les saisons. On en trouve des plus ou moins minéralisées et peuvent être conseillées dans certaines conditions et durant une période définie : femmes enceintes, personnes âgées, sportifs, préparation des biberons, problèmes de transit etc. Si vous optez pour des eaux minérales, pensez à les varier pour optimiser les apports en oligo-éléments.
- Les eaux gazeuses ou gazéifiées : le gaz peut être naturellement présent dans la source ou il peut être ajouté. Riche en dioxyde de carbone, l’eau pétillante est plus acide au goût que l’eau plate. Sa saveur peut néanmoins varier en fonction de la source dont elle est issue ou de l’eau utilisée au départ de sa fabrication. A noter que les eaux gazeuses sont plus concentrées en sel que les eaux plates : aussi choisissez les eaux les moins riches (San Pelligrino®, Perrier®, Salvétat®, Rosanna® etc.).
Pour celles et ceux qui ont des difficultés à boire régulièrement, voici quelques astuces :
- ayez toujours à portée de main une petite bouteille d’eau
- optez pour des tisanes, thé, café et autres boissons chaudes
- donnez du goût à votre eau en y ajoutant des arômes (jus de citron, anis, sucrettes etc.)
- choisissez à l’occasion des boissons aromatisées sans sucres
Vous l’aurez compris, l’hydratation est vitale. N’attendez pas d’avoir soif, buvez régulièrement et sachez adapter les quantités selon votre activité physique. Et n’oubliez pas de porter une attention plus particulière aux personnes plus fragiles (enfants, femmes enceintes, personnes âgées) et ce quelque soit la saison.
La cuisine indienne
Article ajouté le 28/11/2011
La cuisine indienne
En Inde, il n’existe pas une façon de cuisiner mais de multiples qui varient d’une région à l’autre. Aussi, même si vous êtes déjà allés en Inde et que vous avez pu goûter aux subtiles saveurs du Cachemire ou du Penjab, heureux êtes-vous car votre voyage initiatique est loin d’être terminé !
Définie comme un art raffiné très ancien, la cuisine indienne a toujours été un moment de partage, de convivialité et porteuse de sens. En effet, elle nous dévoile les secrets culinaires de l’Inde et symbolise la richesse de son patrimoine.
Les épices
La cuisine indienne compte pas moins de 25 épices savamment sélectionnées et préalablement pilées au mortier. Leur recours dans les plats salés ou les desserts est un véritable savoir-faire que l’on ne peut inventer. Certaines épices ne seront jamais utilisées dans les desserts alors que d’autres comme la cannelle, figurent régulièrement dans la composition de plats salés. Certaines épices ne s’ajouteront qu’en fin de cuisson pour éviter que leur saveur ne soit altérée tandis que d’autres devront être grillées avant utilisation. Aussi le secret et la réussite des plats indiens ne reposent pas uniquement sur les ingrédients qui composent une recette mais sur la juste utilisation des épices.
Parmi les épices les plus connues, on retrouve :
le piment vert ou rouge, utilisé frais, séché ou en poudre, il relève la saveur des curries et des chutneys
le gingembre, en poudre il entre dans la composition des curries
le safran, plus souvent utilisé sous forme de filament, il donne au riz sa couleur jaune et son goût raffiné
le garam masala, correspondant à un mélange de poivre, de clou de girofle, de cannelle, de cardamome et de cumin
la coriandre, fraîche ou sous forme de graines, elle est utilisée en abondance en remplacement de notre persil
le curcuma en poudre, obtenu par réduction en poudre d’un rhizome cuit puis séché, est utilisé largement pour son pouvoir colorant et en prévention de certaines maladies.
Bien évidemment il en existe beaucoup d’autres plus ou moins connues (Fenugrec, Rattan-Jog, Tamarin, Sel noir etc.) qui apportent à chaque plat indien sa saveur si particulière.
Les spécialités
Bien que tous les indiens ne soient pas tous végétariens, vous aurez de fortes chances de trouver beaucoup de plats à base de légumes et de céréales. La viande étant plus coûteuse, les indiens se plaisent à préparer des plats de légumes variés, abondants, savoureux et peu chers.
De nombreux plats sont également préparés à partir de Ghee. Ne cherchez plus, le Ghee ou Ghi est un beurre fabriqué à partir du lait de bufflonne puis clarifié par une longue cuisson.
Parmi les plats les plus connus en Inde, on retrouve notamment :
les pappadams, chips à base de farine de lentilles
les chapatis, galettes à base de farine et d’eau
les pakora, beignets de légumes
les samosas, chaussons triangulaires farcis d’un curry de légumes
le shikh kebab, rouleau de viande d’agneau haché, grillée au four tandoori
le gushtaba, boulettes de viande épicées accompagnées d’une sauce au yaourt
le poulet korma, viande rôtie agrémentée d’une sauce douce au yaourt ou à la crème
le dhal, purée de lentilles
le raïta, mélange de légumes frais et de yaourt tel le tzatziki
les chutneys, sauces aigres-douces contenant des légumes ou des fruits
le lassi, boisson sucrée ou salée très rafraîchissante à base de babeurre
les naans, galettes cuites au four tandoori pouvant se consommer nature, farcis au fromage, à l’ail ou aux petits légumes.
Et comme tout cela peut se manger avec les doigts (de la main droite), succombez dès maintenant au charme de la cuisine indienne. Vous serez toujours bien accueillis.
Posté Le : 27/06/2013
Posté par : louna13
Source : www.recettes-dietetiques.fr