Évocation :
M’hamed Issiakhem, un génie forgé dans la douleur....!
Il avait donné à la peinture algérienne moderne ses lettres de noblesse avant même l’indépendance. M’hamed Issiakhem, disparu voilà trente ans, a imprimé un style propre à l’art plastique algérien et son legs éternel est encore visible dans les musées, bien sûr, mais aussi dans des lieux publics où son trait est reconnaissable entre tous.
Artiste accompli touchant à tout les domaines des arts plastiques, M’hamed Issiakhem avait apporté sa touche, si particulière et qui en a inspiré tant d’autres, à des oeuvres cinématographiques et littéraires.
Fondateur l’Union nationale des arts plastiques (Unap), il s’est aussi consacré un temps à l’enseignement. Peintre au trait de pinceau très expressif, M’hamed Issiakhem a aussi réalisé des billets de banques et des timbres postaux, outre les nombreuses fresques murales qui ornent les rues d’Alger.
Il était aussi dessinateur de presse et créateur de décors pour des films comme “La voie” de Slim Riad ou “Poussières de juillet”, réalisés pour le télévision Algérienne avec son compagnon de toujours....
J'ai plusieurs oeuvres de Issiakhem au tout début de sa carrière, j'aimerai savoir à qui m'adresser pour connaître leurs véritable valeur. MERCI
Ameziane - Enseignant à la retraite - Relizane, Algérie
04/12/2018 - 391403
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Posté Le : 02/12/2018
Posté par : imekhlef
Ecrit par : rachid imekhlef
Source : linkedin