Algérie

Lutte contre la violence dans les stades


La sonnette d?alarme Le Comité national pour la prévention de la violence dans les stades s?est réuni lundi au siège du ministère de la Jeunesse et des Sports. Etaient présents à cette réunion, le ministre de la Jeunesse et des Sports, Abdelaziz Ziari, les directeurs centraux du MJS ainsi que des représentants de la DGSN, Gendarmerie nationale, Protection civile, l?association Ouled El Houma... Longtemps en veilleuse, le Comité national pour la prévention de la violence dans les stades a repris du service, suite aux graves incidents survenus dans les stades et aux alentours au cours de la fin de l?année 2004. La flambée de la violence qui a marqué le dernier mois de l?année écoulée a, en quelque sorte, interpellé ceux qui ont en charge ce volet très sensible. Dans son intervention, le ministre de la Jeunesse et des Sports, Abdelaziz Ziari, n?a pas manqué de souligner le retour au premier plan du phénomène de la violence qui a de nouveau investi le champ du football. Pour lui, il n?y a d?autre solution que celle de tout mettre en ?uvre pour l?éradiquer (la violence) à jamais. Pour ce faire, il faudra dégager beaucoup de moyens et veiller quotidiennement à la mise en application des décisions prises à tous les niveaux. Les observateurs s?accordent sur une chose. La garde a baissé au cours des derniers mois vis-à-vis de ce phénomène. Les responsables en charge de ce dossier sensible se sont rendu compte, en décembre 2004, que la vigilance doit être toujours de rigueur. Peu de décisions arrêtées dans le cadre de la lutte contre la violence ont été mené depuis un an. Elles n?ont pu être mise en application de manière régulière. A la faveur de cette carence, la violence dans les stades continue de faire parler d?elle, au gré des journées de championnat. Il a été suggéré de réactiver la formation des stadiers, de favoriser le retour sur la scène des comités de supporters et d?impliquer les clubs dans la lutte contre la violence dans les stades.
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)