Pourtant, la majeure partie de ces réalisations a été attribuée à ceux qui en ont formulé la demande. Devant l'état de délabrement et d'abandon, nombre de locaux, tant à Aïn Beïda, Meskiana, Belala ou ailleurs, ont vu leurs portes éventrées, les fils des installations électriques arrachés, les murs griffonnés ... Beaucoup de citoyens ne comprennent pas pourquoi les autorités communales ont choisi des lieux d'implantation inadéquats pour pareils projets. En effet, une grande partie de ces locaux a été érigée dans des espaces qui ne peuvent convenir ni à un quelconque commerce, ni pour la pratique d’une activité artisanale, parce que éloignée des cités populeuses, où il est loisible de s'adonner à une occupation lucrative. Même les jeunes attributaires rechignent à investir les lieux, sentant d'avance que tout effort serait voué à l’échec. Alors, faut-il laisser les rideaux fermés indéfiniment ou réorienter l'exploitation vers d'autres créneaux '
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Posté Le : 20/10/2010
Posté par : sofiane
Ecrit par : Baâziz Lazhar
Source : www.elwatan.com