Algérie

LNF 1 – 28ème journée - MC Alger 1 - MC Oran 0


ça se somplique pour les Hamraoua Stade «Omar Hamadi», temps ensoleillé, affluence très nombreuse, arbitrage tunisien dirigé par Benaceur. Avertissements : Hosni et Babouche (MCA)- Belabès, et Hanister (MCO). But : Babouche 24’ MCA : Benhamou, Hosni, Babouche, Coulibaly, Galoul, Koudri, Belkaïd, Younès, Sidibé, (Bouchama) (Chaoui), Badji (Belghomari), Bougache. Entraîneur : Ameur Djamil. MCO : Djabaret, Bourzama (Sebbah), Haddou, Belabès, Kechamli, Cherif El-Ouezzani, Chaïb (N’Lend), Benatia, Hanitser, Bouazza, Bradja (Behari). Entraîneur : Cherif El-Ouazzani. Mais comme on pouvait s’y attendre, ce match capital aura tenu toutes ses promesses en matière d’engagement et de suspense, car sur le plan de jeu, le niveau a été loin de toutes les espérances. Il est vrai que la pression sur les vingt-deux acteurs était à son paroxysme, dans un stade archicomble, qui a fait le plein dès les premières heures de la matinée. Cela a conduit chacune des deux équipes alors à ne chercher que le résultat. Babouche du côté des Algérois, l’a si bien compris en allant botter un coup franc des 35 mètres. Un tir fulgurant qui va mourir dans la lucarne des bois de Djabaret, ouvrant ainsi la marque au profit des locaux. Un but qui va secouer les visiteurs dont le tir de Hanister à la 44’, a failli faire mouche. C’est l’action qui va sonner aussi le réveil des «Hamraoua» puisque ces derniers vont revenir des vestiaires avec des intentions meilleures sur le plan offensif. D’ailleurs, Benhamou va être mis à rude épreuve, à plusieurs reprises, mais en vain. Les poulains de Ameur Djamil réussiront ainsi à garder leur maigre acquis, jusqu’au coup de sifflet final de l’arbitre. Malheureusement, ce coup va donner lieu à une pagaille générale sur le terrain. Tout a commencé par des échauffourées entre quelques joueurs des deux camps, avant que les supporters du MCA n’envahissement le terrain. Il aura fallu au service de l’ordre, présent en force en la circonstance, intervenir énergiquement pour vider le stade, au moment ou les joueurs oranais sont restés dans leur vestiaire pendant un bon bout de temps, avant de quitter l’enceinte du stade de Bologhine par une porte dérobée. F. Karim
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