«L’employeur, ignorant sans doute l’existence d’une législation de travail, de lois et de règles en la matière, a cru pouvoir se débarrasser de tout un collectif et de ses revendications socioprofessionnelles par une simple signification verbale», a souligné
le SNJ dans un communiqué rendu public hier. Il a relevé qu’aucune notification administrative, de quelque nature que ce soit, n’a été adressée à aucun des membres du collectif concerné.
Pour défendre les intérêts et les droits de ces employés, le SNJ a fait appel à son avocat, Me Youcef Dilem, chargé du volet juridique, comme il a saisi l’inspection générale du travail, la Caisse nationale d’assurance chômage et, cela va
de soi, la justice. Le SHJ assure les consœurs et confrères de son soutien en toute circonstance.
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Posté Le : 06/12/2011
Posté par : sofiane
Ecrit par : R. S.
Source : www.elwatan.com