«Pas de légitimité à la Constitution sans une reconnaissance de la langue amazighe», proclamait une pancarte brandie par l'un des manifestants. «Nous protestons contre notre marginalisation dans le nouveau gouvernement», a expliqué l'un des manifestants. Le nouveau gouvernement est la cible de critiques, dans l'Est et le Sud, mais aussi de la part des Amazighs, qui estiment que leur représentativité dans le gouvernement «ne correspondait pas à leur présence» et à leur contribution à la révolution libyenne. Les berbérophones représentent environ 10% des 6 millions de Libyens. Mais leur langue avait été interdite par Mouammar El Gueddafi.
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Posté Le : 26/11/2011
Posté par : sofiane
Source : www.elwatan.com