Les travailleurs en grève depuis 15 jours El Hamiz, tarsi ex-sn metal

Les travailleurs de Tarsi, une unité de groupe ENCC, ex-SN Metal, à El Hamiz, spécialisée dans la maintenance industrielle, sont en grève depuis deux semaines. Ce débrayage est pour dénoncer la situation qualifiée de « catastrophique » de l'entreprise. Dans un document datant du 21 novembre dernier, dont nous détenons une copie, les travailleurs, dénoncent la mauvaise gestion de leur unité créée dans les années 70 et réclament « le départ de l'actuel P.-dg en raison de son incompétence à gérer une telle entreprise ». Les travailleurs expliquent, en outre, que cette situation découle du recrutement d'un personnel vieillissant, dont des cadres à la retraite, ce qui est contraire aux clauses du traité collectif de l'entreprise et la correspondance du président du SGP datant de 2006 interdisant le recrutement de retraités. « Le non renouvellement de la section syndicale, le non investissement, la démission et le départ des cadres de l'entreprise, souvent sous pression, les dépassements concernant les indemnités sur l'ancienneté dont le dossier se trouve au niveau des instances de justice, sont également, les raisons et les causes qui ont fait plonger cette unité dans cette situation délétère », lit-on encore dans le document. Le volet formation a été, globalement, dénoncent les protestataires, « délaissé par les responsables de l'unité ». Outre la demande de départ du P.-dg, les travailleurs réclament la fin de la politique de «recrutement des retraités, l'application d'une nouvelle grille de salaires, la réintroduction de l'indemnité sur le rendement, l'élection d'une nouvelle section syndicale pour l'entreprise dont le fonctionnement demeure provisoire depuis 2006, et la cessation des politiques destructives des responsables visant à anéantir l'entreprise ».
Les travailleurs de Tarsi, une unité de groupe ENCC, ex-SN Metal, à El Hamiz, spécialisée dans la maintenance industrielle, sont en grève depuis deux semaines. Ce débrayage est pour dénoncer la situation qualifiée de « catastrophique » de l'entreprise. Dans un document datant du 21 novembre dernier, dont nous détenons une copie, les travailleurs, dénoncent la mauvaise gestion de leur unité créée dans les années 70 et réclament « le départ de l'actuel P.-dg en raison de son incompétence à gérer une telle entreprise ». Les travailleurs expliquent, en outre, que cette situation découle du recrutement d'un personnel vieillissant, dont des cadres à la retraite, ce qui est contraire aux clauses du traité collectif de l'entreprise et la correspondance du président du SGP datant de 2006 interdisant le recrutement de retraités. « Le non renouvellement de la section syndicale, le non investissement, la démission et le départ des cadres de l'entreprise, souvent sous pression, les dépassements concernant les indemnités sur l'ancienneté dont le dossier se trouve au niveau des instances de justice, sont également, les raisons et les causes qui ont fait plonger cette unité dans cette situation délétère », lit-on encore dans le document. Le volet formation a été, globalement, dénoncent les protestataires, « délaissé par les responsables de l'unité ». Outre la demande de départ du P.-dg, les travailleurs réclament la fin de la politique de «recrutement des retraités, l'application d'une nouvelle grille de salaires, la réintroduction de l'indemnité sur le rendement, l'élection d'une nouvelle section syndicale pour l'entreprise dont le fonctionnement demeure provisoire depuis 2006, et la cessation des politiques destructives des responsables visant à anéantir l'entreprise ».