Les tracasseries au placard

Cette année les nationaux résidant à l'étranger qui ont décidé de passer leurs vacances au «bled» et, d'une pierre deux coups, d'observer le jeûne en famille ne vont plus galérer comme les autres années. Les pouvoirs publics ont pensé à eux et vont mettre en place des facilitations pour que les "émigrés" qu'ils viennent de France, du Canada, d'Allemagne ou de Tataouine n'aient plus à maudire les files interminables au niveau des contrôles de police et de douane tant dans les aéroports que les ports où les vacanciers qui transportent leurs véhicules poireautent des heures avant de pouvoir sortir leurs bagages. Toutes ces tracasseries devraient figurer au registre du passé, le secrétaire d'Etat chargé de la Communauté nationale à l'étranger a annoncé tout de go que des dispositions ont été prises pour qu'il n'y ait plus de confusion et d'attente prolongée, sauf que ce discours est du déjà entendu sans pour autant une amélioration mais soit, ne jouons pas les oiseaux de mauvaise augure et saluons plutôt les bonnes initiatives. En théorie tout est dit pour que tout se déroule comme sur du billard, dans la pratique rien n'est dit que cela se passera comme le prétend le chargé de la Communauté nationale à l'étranger, car si notre homme parle pour lui, il n'est pas le seul acteur dans ce théâtre où le département des transports joue un rôle essentiel. La cohue au niveau des représentations d'Air Algérie dans les différents aéroports reste de mise, des chefs d'escale dépassés par les retards des avions esquivent la fronde des passagers faute de mieux communiquer. Malgré tous ces soucis qui empoisonnent la vie, l'appel du pays reste le plus fort, revoir les siens pèse plus dans la balance et après moult péripéties les vacanciers expriment malgré tout toujours la même joie de pouvoir dire : «Le soleil, la mer, l'Algérie notre beau pays», qu'ils ont quitté, pour beaucoup à contre-c'ur. Gageons que les pouvoirs publics tiennent parole pour que les émigrés aient plaisir à retrouver leur terre natale, "parce qu'ils le valent bien".
Cette année les nationaux résidant à l'étranger qui ont décidé de passer leurs vacances au «bled» et, d'une pierre deux coups, d'observer le jeûne en famille ne vont plus galérer comme les autres années. Les pouvoirs publics ont pensé à eux et vont mettre en place des facilitations pour que les "émigrés" qu'ils viennent de France, du Canada, d'Allemagne ou de Tataouine n'aient plus à maudire les files interminables au niveau des contrôles de police et de douane tant dans les aéroports que les ports où les vacanciers qui transportent leurs véhicules poireautent des heures avant de pouvoir sortir leurs bagages. Toutes ces tracasseries devraient figurer au registre du passé, le secrétaire d'Etat chargé de la Communauté nationale à l'étranger a annoncé tout de go que des dispositions ont été prises pour qu'il n'y ait plus de confusion et d'attente prolongée, sauf que ce discours est du déjà entendu sans pour autant une amélioration mais soit, ne jouons pas les oiseaux de mauvaise augure et saluons plutôt les bonnes initiatives. En théorie tout est dit pour que tout se déroule comme sur du billard, dans la pratique rien n'est dit que cela se passera comme le prétend le chargé de la Communauté nationale à l'étranger, car si notre homme parle pour lui, il n'est pas le seul acteur dans ce théâtre où le département des transports joue un rôle essentiel. La cohue au niveau des représentations d'Air Algérie dans les différents aéroports reste de mise, des chefs d'escale dépassés par les retards des avions esquivent la fronde des passagers faute de mieux communiquer. Malgré tous ces soucis qui empoisonnent la vie, l'appel du pays reste le plus fort, revoir les siens pèse plus dans la balance et après moult péripéties les vacanciers expriment malgré tout toujours la même joie de pouvoir dire : «Le soleil, la mer, l'Algérie notre beau pays», qu'ils ont quitté, pour beaucoup à contre-c'ur. Gageons que les pouvoirs publics tiennent parole pour que les émigrés aient plaisir à retrouver leur terre natale, "parce qu'ils le valent bien".