Algérie

Les Touaregs maliens démentent Collaboration avec Aqmi


Les Touaregs maliens démentent Collaboration avec Aqmi
Les rebelles touaregs ont démenti vendredi que des militants islamistes liés à Al Qaïda combattaient à leurs côtés dans le nord du Mali, comme l'affirme le gouvernement de Bamako rapporte Reuters.
Les combattants touaregs du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA), qui luttent pour l'indépendance de la région, ont ouvert jeudi un troisième front en s'emparant de la ville de Léré, près de la frontière mauritanienne. Vendredi, une source militaire a fait état de combats à Tessalit, près de la frontière algérienne.
Dans un communiqué publié tard jeudi soir, le ministère malien de la Défense dit que les hommes du MNLA et des combattants d'Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) ont attaqué cette semaine la ville d'Aguelhoc, où des dizaines de soldats maliens ont été tués. D'autres sources ont également fait état de liens entre les insurgés touaregs et les islamistes.
"L'apparition des djihadistes, forts de leur expérience, dans ce genre de conflit est quelque chose de très important", relève un expert de la région. "Cela va notamment permettre à Aqmi de stocker des armes." Un porte-parole du MNLA basé en Europe, Moussa Ag Acharatoumane, a confirmé l'attaque contre Aguelhoc mais a démenti tout lien entre son groupe et les islamistes.
"C'est leur rhétorique habituelle. Comme ils perdent du terrain, ils tentent de nous faire passer pour des terroristes. Mais tout le monde sait que c'est faux", a-t-il dit au téléphone à Reuters.
Le MNLA, qui lutte pour l'indépendance du nord du Mali, compte dans ses rangs des Touaregs maliens ayant combattu l'an dernier en Libye aux côtés des partisans de Mouammar Kadhafi.
La France, ancienne puissance coloniale au Mali, a appelé les deux camps à un cessez-le-feu immédiat
Agence
Les rebelles touaregs ont démenti vendredi que des militants islamistes liés à Al Qaïda combattaient à leurs côtés dans le nord du Mali, comme l'affirme le gouvernement de Bamako rapporte Reuters.
Les combattants touaregs du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA), qui luttent pour l'indépendance de la région, ont ouvert jeudi un troisième front en s'emparant de la ville de Léré, près de la frontière mauritanienne. Vendredi, une source militaire a fait état de combats à Tessalit, près de la frontière algérienne.
Dans un communiqué publié tard jeudi soir, le ministère malien de la Défense dit que les hommes du MNLA et des combattants d'Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) ont attaqué cette semaine la ville d'Aguelhoc, où des dizaines de soldats maliens ont été tués. D'autres sources ont également fait état de liens entre les insurgés touaregs et les islamistes.
"L'apparition des djihadistes, forts de leur expérience, dans ce genre de conflit est quelque chose de très important", relève un expert de la région. "Cela va notamment permettre à Aqmi de stocker des armes." Un porte-parole du MNLA basé en Europe, Moussa Ag Acharatoumane, a confirmé l'attaque contre Aguelhoc mais a démenti tout lien entre son groupe et les islamistes.
"C'est leur rhétorique habituelle. Comme ils perdent du terrain, ils tentent de nous faire passer pour des terroristes. Mais tout le monde sait que c'est faux", a-t-il dit au téléphone à Reuters.
Le MNLA, qui lutte pour l'indépendance du nord du Mali, compte dans ses rangs des Touaregs maliens ayant combattu l'an dernier en Libye aux côtés des partisans de Mouammar Kadhafi.
La France, ancienne puissance coloniale au Mali, a appelé les deux camps à un cessez-le-feu immédiat
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