La cupidité habituelle des taxieurs met les nerfs des Annabis à rude épreuve depuis le début de l'année 2018. Avec une augmentation de 30% des tarifs quelle que soit la longueur du trajet et le recours au transport collectif malgré un cahier des charges leur imposant l'usage de la course au compteur (qui, il est vrai, est indisponible depuis de fort belles années), les chauffeurs de taxi ont la tâche facile et n'hésitent pas à malmener les protestataires qui s'étonnent de cette tarification imposée unilatéralement. Des témoins rapportent des scènes lamentables où de vieilles dames n'ont échappé à la vindicte que grâce à l'intervention des passants, parce qu'elles ont refusé le nouveau tarif et se sont acquittées de l'ancien en attendant des dispositions officielles. L'argument spécieux selon lequel les nouveaux prix des carburants impactent ceux du transport ne tient pas la route, car l'essence a tout au plus subi une hausse de 12 à 15%, mais sûrement pas de 30%. Mais qui ira dire à certains énergumènes l'obligation de respecter les décisions annoncées par la tutelle'
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Posté Le : 08/01/2018
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : L'Expression
Source : www.lexpressiondz.com