Algérie

Les sociaux-démocrates favoris aux législatives



Les habitants de la Finlande, voisin de la Suède et de la Russie, devaient désigner,ce 14 avril, les nouveaux élus del'Eduskunta,Les habitants de la Finlande, voisin de la Suède et de la Russie, devaient désigner,ce 14 avril, les nouveaux élus del'Eduskunta,
la chambre unique duParlement national. 200 sièges sont àpourvoir, pour 2500 candidats en lice.Depuis quatre ans, c'est une coalition departis de droite et centristes qui est aupouvoir, mais les électeurs semblent vouloir changer de camp. Un tiers d'entre euxne compte pas voter pour le même partique lors des dernières législatives en2015.Les sociaux-démocrates sont bien partispour prendre leur revanche.
Après quatreannées passées dans l'opposition, ils fontla course en tête avec 21 % des intentionsde vote. Si les sondages se concrétisent, ils devraient logiquement s'associer au parti des Verts. Grise mine en revanche pour la formation du Premier ministre sortant, Juha Sipilä. Le Parti du centre n'est crédité que de 14 % des intentions de vote. Les Finlandais semblent lui tenir rigueur de sa politique d'austérité mais la réforme du système de santé publique, qu'il a échoué à mettre enoeuvre en mars dernier, est toujours d'actualité. Elle s'est imposée comme le thème numéro 1 de la campagne électorale. L'enjeu est en effet considérable en Finlande : un quart de la population aura 65 ans en 2030, et cela va peser sur les finances publiques. Le Parti du centre garde toutefois un petitespoir d'être appelé par le vainqueur du scrutin pour obtenir une place au gouvernement. Quant aux populistes du parti les
Vrais Finlandais, ils risquent de perdre de nombreux électeurs, à cause d'une division de leur formation politique l'année dernière.Mais ils auront au moins réussi à imposerl'immigration comme l'un des thèmesmajeurs de ces législatives
la chambre unique duParlement national. 200 sièges sont àpourvoir, pour 2500 candidats en lice.Depuis quatre ans, c'est une coalition departis de droite et centristes qui est aupouvoir, mais les électeurs semblent vouloir changer de camp. Un tiers d'entre euxne compte pas voter pour le même partique lors des dernières législatives en2015.Les sociaux-démocrates sont bien partispour prendre leur revanche.
Après quatreannées passées dans l'opposition, ils fontla course en tête avec 21 % des intentionsde vote. Si les sondages se concrétisent, ils devraient logiquement s'associer au parti des Verts. Grise mine en revanche pour la formation du Premier ministre sortant, Juha Sipilä. Le Parti du centre n'est crédité que de 14 % des intentions de vote. Les Finlandais semblent lui tenir rigueur de sa politique d'austérité mais la réforme du système de santé publique, qu'il a échoué à mettre enoeuvre en mars dernier, est toujours d'actualité. Elle s'est imposée comme le thème numéro 1 de la campagne électorale. L'enjeu est en effet considérable en Finlande : un quart de la population aura 65 ans en 2030, et cela va peser sur les finances publiques. Le Parti du centre garde toutefois un petitespoir d'être appelé par le vainqueur du scrutin pour obtenir une place au gouvernement. Quant aux populistes du parti les
Vrais Finlandais, ils risquent de perdre de nombreux électeurs, à cause d'une division de leur formation politique l'année dernière.Mais ils auront au moins réussi à imposerl'immigration comme l'un des thèmesmajeurs de ces législatives


Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)