Algérie

Les secrets qui entourent la chaine ''Al Jazeera'' QUAND LES REVOLTES ARABES NAGENT A CONTRE COURANT



Les secrets qui entourent la chaine ''Al Jazeera''                                    QUAND LES REVOLTES ARABES NAGENT A CONTRE COURANT
Personne, des journalistes du monde n'a douté un instant que la chaine de télévision Qatarie ''Al Jazeera'' est une création ''Israélienne''. Tout le monde croyait la famille de l'Emir du Qatar derrière la fondation et la propulsion de cette chaine.
Or, les investigations, nous orientent avec confirmation, que l'idée de cette création est venue de deux personnalités Franco Israéliennes. Il s'agit des frères David. Non ce n'est pas Bernard-Henri David, mais les frères David et Jean Friedman qui ont insisté, juste après l'assassinat d'Isaak Rabin qu''il fallait créer une chaine de télévision pour réunir les arabes et les juifs, créer des débats et donner la parole aux deux communautés. Pour cela, une coïncidence de taille surgira quand les négociations entamées entre la société Saoudienne ''Orbit'' et le groupe BBC pour la création d'une chaine de télévision arabe d'informations non stop avaient échouées, alors qu'un groupe de journalistes arabisés a été déjà recrutés. Ce qui a mis la puce à l'oreille des frères Friedman et les a inciter d'avantage à créer leur télévision dans un pays arabe. Ils contactèrent l'Emir du Qatar Hamed Ben Khalifa Al Thani, qui avec l'aide et le soutien des américains et des anglais avaient renversé son père qui était un pro Iranien. Le nouvel Emir comprendra très vite l'intérêt de l'installation de cette chaine de télévision à Doha. Mais d'abord il devrait conclure des relations avec ''Israël''. Pour cela les frères Friedman ont agit rapidement pour décrocher l'accord des deux parties en ouvrant à Doha un bureau ''Israélien'' chargé des relations commerciales (une couverture du Mossad). Il n'y eu aucun problème de financement, les frères Friedman avec leur capital ont obtenu un prêt auprès de l'Emir du Qatar d'une valeur de 150 millions de dollars remboursé sur une période de cinq années. Mais l'Arabie Saoudite a vu d'un mauvais 'il cette initiative, et donna ordre de boycotter d'Al Jazeera pour en ce qui concerne les panneaux publicitaires, les pays du golf ont été soumis aux instructions de Riad. L'Emir du Qatar devant cet état de fait n'a pas abandonné Al Jazeera , il a décidé de prendre en charge tous les frais, et devint le grand maestro de la chaine. Le vrai patron.
Khanfar à la tête d'Al Jazeera a fait trembler la CIA et le Mossad
Suite au décès de David Friedman survenu en 2004, l'émir du Qatar décide d'ouvrir d'autres chaines, il commence par ''Al Jazeera English'' et sollicita les services de l'organisme international ''JTrack'' qui est spécialisé dans la formation en média communication et l'enseignement des responsables arabes et d'Asie de l'Est du langage de Davos, c'est-à-dire comment parler aux occidentaux et leur montrer l'image qu'ils désirent voir.. De Rabat à Singapour, la boite ''JTrack'', a formé l'ensemble des responsables politiques soutenus par la Maison Blanche et Tel-Aviv. ''JTrack'' n'avait pas achevé sa mission à Doha, quand son PDG, fut appelé à assurer de hautes fonctions gouvernementales dans un pays du Maghreb. Cependant, avant de quitter Doha, le PDG, a fait appel à un ancien journaliste de la ''Voix de l'Amérique'' et correspondant d'Al Jazeera, pour l'installer à la tête d'Al Jazeera, il s'agit bien de Ouadah Khanfar. À la fois professionnellement compétent et politiquement sûr, Khanfar s'attacha à donner une couleur idéologique à Al-Jazeera. Tout en donnant la parole à Mohamed Hassanein Heikal, l'ancien porte-parole de Nasser, il fit de cheikh Yusuf al-Qaradawi 'qui avait été déchu de sa nationalité égyptienne par Nasser' le « conseiller spirituel » de la chaîne. Il ouvre le studio à Benbella, Mokhtar Ould Dada, à Jean Marie le Pen, à la fille du Général Marocain Oufkir,à l'Ancien premier ministre Abdelhamid Brahimi, à Abbasi Madani, à Abdelhalim Kheddam, à Kadhafi, à Abdelillah Benkirane (Maroc) et à d'autres personnalités arabes et étrangères du pouvoir et de l'opposition. Quand les révoltes des peuples se sont déclenchées en Algérie et en Tunisie et dans la péninsule arabique, Ouadah Khanfar a brutalement modifié la ligne éditoriale de sa rédaction. Le Groupe a joué un rôle central dans l'accréditation du mythe du printemps arabe : les peuples, avides de liberté, de vivre dignement, de combattre le chômage et la cherté se seraient soulevés pour renverser des dictateurs et adopter des démocraties parleentaires. En réalité, les Anglo-Saxons se sont efforcés de surfer sur des révoltes populaires pour rejouer le vieil air du printemps arabe qu'ils avaient organisé dans les années 1920 pour s'emparer des anciennes provinces ottomanes et y installer des démocraties parlementaires fantoches sous contrôle mandataire. Al-Jazeera a donc accompagné les révoltes tunisienne et égyptienne pour écarter la tentation révolutionnaire et légitimer de nouveaux gouvernements favorables aux Etats-Unis et à Israël.
Qui est ''JTrack'' '
Quoi qu'il en soit, il faut attendre l'épisode libyen pour que les masques tombent. En effet, le patron de JTrack et mentor de Ouadah Kanfhar n'est autre que Mahmoud Jebril (le "J" de "JTrack", c'est "Jibril"). Ce manager aimable, brillant et creux, avait été conseillé à Mouammar Kadhafi par ses nouveaux amis états-uniens pour piloter l'ouverture économique de la Libye après la normalisation de ses relations diplomatiques. Sous le contrôle de Seif el-Islam Kadhafi, il avait été nommé à la fois ministre du Plan et directeur de l'Autorité de développement, devenant de facto le numéro 2 du gouvernement, et ayant autorité sur les autres ministres. Il mena au pas de charge la dérégulation de cette économie socialiste et la privatisation de ses entreprises publiques. Certains le désignent comme un agent de la CIA. Mahmoud Jibril marche en paire avec BHL, chacun représente ses ''Services'' et exécute sur le terrain ses orientations et directives. A suivre


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