Algérie

Les règles de la concurrence en débat aujourd'hui à l'Algex



Les règles de la concurrence en débat aujourd'hui à l'Algex
Dans l'optique d'harmoniser les pratiques inhérentes à la concurrence et à la compétitivité des prix de la qualité des produit commercialisés dans l'espace du marché euro-méditerranéen, et afin de sensibiliser les opérateurs économiques sur les règles régissant la rivalité entre les entreprises, le ministère du Commerce organise, aujourd'hui, au siège de l'Agence algérienne de promotion du commerce extérieur (Algex), un séminaire de sensibilisation de jumelage concernant le programme d'appui à la mise en 'uvre de l'Accord d'association Algérie-UE (P3A).
Dans l'optique d'harmoniser les pratiques inhérentes à la concurrence et à la compétitivité des prix de la qualité des produit commercialisés dans l'espace du marché euro-méditerranéen, et afin de sensibiliser les opérateurs économiques sur les règles régissant la rivalité entre les entreprises, le ministère du Commerce organise, aujourd'hui, au siège de l'Agence algérienne de promotion du commerce extérieur (Algex), un séminaire de sensibilisation de jumelage concernant le programme d'appui à la mise en 'uvre de l'Accord d'association Algérie-UE (P3A).
Le démantèlement tarifaire pourrait donc se dérouler dans de bonnes conditions pour le commerce extérieur algérien, en ce sens que, dès le départ, les règles seront connues et seront transparentes pour les transactions commerciales entre l'Algérie et les pays de l'Union européenne. Ainsi, il est question de discuter, aujourd'hui, les conséquences et les avantages de la concurrence entre les autorités algériennes compétentes et un consortium européen visant, notamment, « à rendre cohérente la mise en 'uvre efficiente et ordonnancée des principes et des règles de la concurrence en Algérie », afin de prémunir les opérateurs économiques contre les aléas de la concurrence déloyale, selon le directeur du programme P3A, Aïssa Zelmati.
En fait l'accord d'association entre l'Algérie et l'Union européenne prévoit la signature d'un contrat de jumelage, c'est-à-dire l'une des parties réglementaires du programme P3A qui doit être paraphée avant décembre 2102, sachant que cette convention a consenti un budget de l'ordre de 870.000 euros pour une période de cinq années et dont la finalité vise, notamment, à mettre en place un marché algérien réellement concurrentiel et compétitif avec la nécessité de protéger les intérêts économiques des consommateurs. Il s'agit, également, de conférer les capacités managériales et exportatrices pour les opérateurs économiques algériens, notamment ceux spécialisés dans l'industrie agroalimentaire ayant des potentialités avérées à l'export. Doté d'une enveloppe financière de l'ordre de 64 millions d'euros dont la répartition est basée sur trois tranches, à savoir 10 millions d'euros pour l'exercice en cours, 24 millions d'euros pour les deux années suivantes, (P3a-2) et 30 millions d'euros à dépenser suivant une prévisible consommation devant commencer dès l'année 2013 dans le programme P3a-3.
Le démantèlement tarifaire pourrait donc se dérouler dans de bonnes conditions pour le commerce extérieur algérien, en ce sens que, dès le départ, les règles seront connues et seront transparentes pour les transactions commerciales entre l'Algérie et les pays de l'Union européenne. Ainsi, il est question de discuter, aujourd'hui, les conséquences et les avantages de la concurrence entre les autorités algériennes compétentes et un consortium européen visant, notamment, « à rendre cohérente la mise en 'uvre efficiente et ordonnancée des principes et des règles de la concurrence en Algérie », afin de prémunir les opérateurs économiques contre les aléas de la concurrence déloyale, selon le directeur du programme P3A, Aïssa Zelmati.
En fait l'accord d'association entre l'Algérie et l'Union européenne prévoit la signature d'un contrat de jumelage, c'est-à-dire l'une des parties réglementaires du programme P3A qui doit être paraphée avant décembre 2102, sachant que cette convention a consenti un budget de l'ordre de 870.000 euros pour une période de cinq années et dont la finalité vise, notamment, à mettre en place un marché algérien réellement concurrentiel et compétitif avec la nécessité de protéger les intérêts économiques des consommateurs. Il s'agit, également, de conférer les capacités managériales et exportatrices pour les opérateurs économiques algériens, notamment ceux spécialisés dans l'industrie agroalimentaire ayant des potentialités avérées à l'export. Doté d'une enveloppe financière de l'ordre de 64 millions d'euros dont la répartition est basée sur trois tranches, à savoir 10 millions d'euros pour l'exercice en cours, 24 millions d'euros pour les deux années suivantes, (P3a-2) et 30 millions d'euros à dépenser suivant une prévisible consommation devant commencer dès l'année 2013 dans le programme P3a-3.




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