Algérie

Les "racketteurs" font de la résistance



Les
Comme lors de chaque saison estivale, l'accès aux plages est gratuit. Les concessions au privé ont été tout simplement annulées. Mais les estivants payent certaines prestations qui sont hors de portée.Comme lors de chaque saison estivale, l'accès aux plages est gratuit. Les concessions au privé ont été tout simplement annulées. Mais les estivants payent certaines prestations qui sont hors de portée.La décision d'interdire toute forme de concession des plages au privé a été prise avant l'été sauf que certains jeunes oisifs continuent dans certains endroits à faire fi de cette réglementation. Pourtant la loi 03-02 du 17 février 2003 stipule que l'accès aux plages pour les estivants est gratuit. Aucune imposition ne doit se faire à l'entrée des plages.Pourtant certains jeunes qui ont manifesté déjà leur désapprobation d'avoir été évincés de l'exploitation de ces espaces, prennent des risques en obligeant les citoyens à s'acquitter de tarifs dissuasifs pour les parasols.C'est devenu une arnaque pour ceux qui s'érigent en exploitants alors qu'aucune autorisation ne leur a été délivrée pour cela. Que ce soit sur la côte algéroise ou dans certaines localités du littoral, c'est le même diktat qui est observé par une poignée d'individus qui traînent avec eux des chiens dangereux et munis de bâtons qui obligent les riverains à prendre place sous des parasols et transat.Les tarifs peuvent osciller entre 300 à 400 DA selon l'importance et l'image que l'on a de la plage. Mais pire, les estivants sont contraints de payer également le droit au stationnement qui n'obéit à aucune logique de prix.Cette année, le tarif peut atteindre 100 DA quel que soit le nombre d'heures et les dizaines de "parkingeurs" qui s'improvisent ça et là, ne lâchent pas prise jusqu'à l'acquittement de cette taxe imposée. Sans compter que d'autres prestations sont proposées tout au cours de ce séjour qui ne dure que quelques heures.Pratiquement, tous les prix sont doublés. Une bouteille d'eau minérale de 1 litre coûte 50 DA, une bouteille de soda de 75 cl est cédée au même prix et aux kiosques improvisés sans hygiène apparente, les sandwichs et cafés sont automatiquement revus à la hausse.Pour certains estivants, les repas préparés chez soi sont la meilleure alternative contre ce genre de pratiques. Mais pour d'autres qui viennent chercher des moments de détente ou d'évasion pour un laps de temps, ils cèdent vite au diktat des prix. Outre le fait que certaines plages de la côte Est ou même à l'ouest de la périphérie algéroise ne présentent pas la caractéristique de la propreté.On voit d'emblée des sacs en plastique et des bouteilles de soda jonchant le sol malgré la campagne lancée il y a juste deux mois par des associations de volontaires et de défenseurs de l'environnement.C'est un semi-échec par rapport à l'indifférence des citoyens qui ne daignent pas respecter les mesures élémentaires d'hygiène dans ces endroits qui sont la seule option pour le tourisme balnéaire. Les pouvoirs publics avaient promis en mai dernier d'effectuer des contrôles sporadiques pour rendre agréable la fréquentation des plages.Mais c'est tout le contraire qui est constaté, sauf un point positif qu'il faut relever au passage qui est celui de la sécurité. Les éléments de la DGSN et de la Gendarmerie nationale ont accentué leur présence en établissant des points de contrôle sur toute la côte et en effectuant à longueur de journée, des patrouilles et rondes autour de ces périmètres.La décision d'interdire toute forme de concession des plages au privé a été prise avant l'été sauf que certains jeunes oisifs continuent dans certains endroits à faire fi de cette réglementation. Pourtant la loi 03-02 du 17 février 2003 stipule que l'accès aux plages pour les estivants est gratuit. Aucune imposition ne doit se faire à l'entrée des plages.Pourtant certains jeunes qui ont manifesté déjà leur désapprobation d'avoir été évincés de l'exploitation de ces espaces, prennent des risques en obligeant les citoyens à s'acquitter de tarifs dissuasifs pour les parasols.C'est devenu une arnaque pour ceux qui s'érigent en exploitants alors qu'aucune autorisation ne leur a été délivrée pour cela. Que ce soit sur la côte algéroise ou dans certaines localités du littoral, c'est le même diktat qui est observé par une poignée d'individus qui traînent avec eux des chiens dangereux et munis de bâtons qui obligent les riverains à prendre place sous des parasols et transat.Les tarifs peuvent osciller entre 300 à 400 DA selon l'importance et l'image que l'on a de la plage. Mais pire, les estivants sont contraints de payer également le droit au stationnement qui n'obéit à aucune logique de prix.Cette année, le tarif peut atteindre 100 DA quel que soit le nombre d'heures et les dizaines de "parkingeurs" qui s'improvisent ça et là, ne lâchent pas prise jusqu'à l'acquittement de cette taxe imposée. Sans compter que d'autres prestations sont proposées tout au cours de ce séjour qui ne dure que quelques heures.Pratiquement, tous les prix sont doublés. Une bouteille d'eau minérale de 1 litre coûte 50 DA, une bouteille de soda de 75 cl est cédée au même prix et aux kiosques improvisés sans hygiène apparente, les sandwichs et cafés sont automatiquement revus à la hausse.Pour certains estivants, les repas préparés chez soi sont la meilleure alternative contre ce genre de pratiques. Mais pour d'autres qui viennent chercher des moments de détente ou d'évasion pour un laps de temps, ils cèdent vite au diktat des prix. Outre le fait que certaines plages de la côte Est ou même à l'ouest de la périphérie algéroise ne présentent pas la caractéristique de la propreté.On voit d'emblée des sacs en plastique et des bouteilles de soda jonchant le sol malgré la campagne lancée il y a juste deux mois par des associations de volontaires et de défenseurs de l'environnement.C'est un semi-échec par rapport à l'indifférence des citoyens qui ne daignent pas respecter les mesures élémentaires d'hygiène dans ces endroits qui sont la seule option pour le tourisme balnéaire. Les pouvoirs publics avaient promis en mai dernier d'effectuer des contrôles sporadiques pour rendre agréable la fréquentation des plages.Mais c'est tout le contraire qui est constaté, sauf un point positif qu'il faut relever au passage qui est celui de la sécurité. Les éléments de la DGSN et de la Gendarmerie nationale ont accentué leur présence en établissant des points de contrôle sur toute la côte et en effectuant à longueur de journée, des patrouilles et rondes autour de ces périmètres.


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