Algérie

Les propositions des syndicats



Le projet de la réforme de l'école décidépar le président de la République,Abdelmadjid Tebboune, repose sur plusieurspoints proposés par les syndicatsde l'Education nationale.L'allégement des programmes scolaires,Le projet de la réforme de l'école décidépar le président de la République,Abdelmadjid Tebboune, repose sur plusieurspoints proposés par les syndicatsde l'Education nationale.L'allégement des programmes scolaires,
pour le primaire, est l'un des points lesplus importants dans la réforme du systèmeéducatif. Meziane Meriane, coordinateurdu Snapest propose, le projet"urgent", de "l'allégement du cartable"."Il faut supprimer certaines matières au primaire, pour dégager des horaires pourles activités sportives et culturelles, sans pour autant toucher au volumehoraire", a t-il déclaré au Soir d'Algérie.Pour le cycle moyen, M.
Meriane proposela révision des coefficients desmatières essentielles, notamment pou les élèves de la quatrième année. Boualem Amoura, porte-parole du Satef, partage le même avis que le coordinateur du Snapest. Il propose également la révision du volume horaire de chaque matière, ainsi que des coefficients à l'origine du problème de profil des élèves des filières scientifiques. M. Amoura suggère également de revenir à l'ancien système des six années dans le cycle primaire. "L'objectif du cycle primaire, c'est d'apprendre à l'élève de lire, écrire et compter, pourquoi lui faire subir autant de matière '", s'interroge M. Amoura. La réforme du baccalauréat, déjà lancé etficelé par le ministère de l'Education, est aussi l'un des points "urgents" que proposent les syndicalistes.
Les écoles paralysées hier !
Les écoles ont été paralysées hier. Déterminés à aller jusqu'au bout de leurs revendications socioprofessionnels, les enseignants ont organisé une nouvelle grève nationale. La grève a été ponctuée par un rassemblement devant le siège du ministère del'Education nationale, au Ruisseau (Alger ), ainsi que devant les directions de l'Education nationale.
Les enseignants du primaire ne comptent pas baisser les bras. Ils ne comptent pas "lâcher du lest jusqu'à l'obtention de leurs droits socioprofessionnels", témoignent les grévistes. Ils décident de "continuer leur chemin de protestation",jusqu'à la satisfaction totale de leurs revendications, réclamant, entres autres, l'exercice du droit syndicale, loin "des menaces de ponctions sur les salaires des enseignants grévistes
pour le primaire, est l'un des points lesplus importants dans la réforme du systèmeéducatif. Meziane Meriane, coordinateurdu Snapest propose, le projet"urgent", de "l'allégement du cartable"."Il faut supprimer certaines matières au primaire, pour dégager des horaires pourles activités sportives et culturelles, sans pour autant toucher au volumehoraire", a t-il déclaré au Soir d'Algérie.Pour le cycle moyen, M.
Meriane proposela révision des coefficients desmatières essentielles, notamment pou les élèves de la quatrième année. Boualem Amoura, porte-parole du Satef, partage le même avis que le coordinateur du Snapest. Il propose également la révision du volume horaire de chaque matière, ainsi que des coefficients à l'origine du problème de profil des élèves des filières scientifiques. M. Amoura suggère également de revenir à l'ancien système des six années dans le cycle primaire. "L'objectif du cycle primaire, c'est d'apprendre à l'élève de lire, écrire et compter, pourquoi lui faire subir autant de matière '", s'interroge M. Amoura. La réforme du baccalauréat, déjà lancé etficelé par le ministère de l'Education, est aussi l'un des points "urgents" que proposent les syndicalistes.
Les écoles paralysées hier !
Les écoles ont été paralysées hier. Déterminés à aller jusqu'au bout de leurs revendications socioprofessionnels, les enseignants ont organisé une nouvelle grève nationale. La grève a été ponctuée par un rassemblement devant le siège du ministère del'Education nationale, au Ruisseau (Alger ), ainsi que devant les directions de l'Education nationale.
Les enseignants du primaire ne comptent pas baisser les bras. Ils ne comptent pas "lâcher du lest jusqu'à l'obtention de leurs droits socioprofessionnels", témoignent les grévistes. Ils décident de "continuer leur chemin de protestation",jusqu'à la satisfaction totale de leurs revendications, réclamant, entres autres, l'exercice du droit syndicale, loin "des menaces de ponctions sur les salaires des enseignants grévistes


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