Les prix de la viande augmentent

Exorbitants depuis toujours, les prix de la viande ont connu ces derniersjours, une augmentation significative.De quoi plomber le pouvoird'achat des Algériens,Exorbitants depuis toujours, les prix de la viande ont connu ces derniersjours, une augmentation significative.De quoi plomber le pouvoird'achat des Algériens,
déjà bien terne. La propagation des épizooties de la fièvre aphteuse et la peste des petits ruminants, ne sont pas sans conséquencessur les prix de la viande. Même si rien n'est encore confirmé faute de résultats d'analyses, les augmentations n'ont pas attendu. L'on parle d'une hausse de presque 17%. D'ordinaire, le kilogramme de viande ovine oscille entre 1.200 et 1.250 DA. En somme, il coûte cher à la base. Avec la nouvelle augmentation, il ne sera pas cédé à moins de 1400 DA, affirme un professionnel. Il devient donc hors de prix.
L'explication fournie est la haussedes prix aux marchés de gros, mais aussi ceux des bêtes destinées à l'abattage. Une hausse induite directement par les deux épidémies qui guettent le cheptel algérien. Les répercussions, quant à elles, seront supportéesdirectement par les citoyens. Pendant ce temps, le ministère de l'Agriculture observe un silenceolympien. Pareil, celui du Commerce pas soufflé le moindre mot pourjustifier l'augmentation des prix de laviande. La situation risquerait dedurer?
déjà bien terne. La propagation des épizooties de la fièvre aphteuse et la peste des petits ruminants, ne sont pas sans conséquencessur les prix de la viande. Même si rien n'est encore confirmé faute de résultats d'analyses, les augmentations n'ont pas attendu. L'on parle d'une hausse de presque 17%. D'ordinaire, le kilogramme de viande ovine oscille entre 1.200 et 1.250 DA. En somme, il coûte cher à la base. Avec la nouvelle augmentation, il ne sera pas cédé à moins de 1400 DA, affirme un professionnel. Il devient donc hors de prix.
L'explication fournie est la haussedes prix aux marchés de gros, mais aussi ceux des bêtes destinées à l'abattage. Une hausse induite directement par les deux épidémies qui guettent le cheptel algérien. Les répercussions, quant à elles, seront supportéesdirectement par les citoyens. Pendant ce temps, le ministère de l'Agriculture observe un silenceolympien. Pareil, celui du Commerce pas soufflé le moindre mot pourjustifier l'augmentation des prix de laviande. La situation risquerait dedurer?