Les prévisions optimistes d'HSBC Vers un "afflux" d'investissements étrangers en Algérie

La conjoncture financière et économique mondiale, marquée par une profonde crise de confiance, devrait engendrer un ''afflux'' d'investissements étrangers en Algérie, un pays qui affiche par ailleurs une ''bonne soutenabilité financière'', a prévu mardi le directeur général de la filiale algérienne du groupe international HSBC Bank. ''Avec la conjoncture difficile à l'international, l'Algérie apparaît comme relais de croissance pour les multinationales (à) on peut même anticiper un afflux d'investissements étrangers en Algérie'', a dit M. Rachid Sekak lors d'un point de presse à Alger. La politique financière menée par l'Algérie, notamment la politique de gestion du taux de change, a permis au pays d'être ''naturellement protégé par rapport à ce qui se passe dans le monde'', a-t-il soutenu. Sur 25 milliards (mds) de dollars (quelque 2.000 mds de DA) d'investissements hors hydrocarbures réalisés en Algérie entre 2007 et fin 2011, un tiers (8,25 milliards de dollars) étaient des IDE (investissements directs étrangers), selon les données officielles. Interrogé sur une éventuelle répercussion de la crise économique mondiale sur les besoins de financement des entreprises algériennes, M. Sekak a répondu que ''nous n'avons jusqu'à présent constaté aucune conséquence dans ce sens, ni négative, ni positive''.
Il a par contre fait remarquer que les augmentations salariales en Algérie ont eu ''un effet positif sur les entreprises, en boostant la consommation de leur produits''. Mais, M. Sekak a refusé de donner le bilan des financements de HSBC en Algérie, se disant ''n'être pas autorisé de répondre'', car le groupe est en train de faire son bilan annuel. Il s'est contenté de noter que le chiffre d'affaires de la succursale algérienne s'affiche en nette croissance en 2012.
Lors d'une conférence qu'elle a animée juste avant le point de presse, Mme. Mathilde Lemoine, Directrice des études économiques et de la stratégie des marchés à HSBC-France, a avancé que l'année 2013 '' s'ouvre sous de meilleurs auspices pour la zone euro et le reste du monde'', soulignant que les équilibres financiers mondiaux resteraient ''instables'' encore pour longtemps.
Dotée d'un capital de 11,3 milliards de DA, la filiale algérienne de HSBC, une des premières banques d'affaires dans le monde, a démarré ses activités en Algérie en 2008. Elle compte actuellement 2.500 clients dont 240 entreprises.
La conjoncture financière et économique mondiale, marquée par une profonde crise de confiance, devrait engendrer un ''afflux'' d'investissements étrangers en Algérie, un pays qui affiche par ailleurs une ''bonne soutenabilité financière'', a prévu mardi le directeur général de la filiale algérienne du groupe international HSBC Bank. ''Avec la conjoncture difficile à l'international, l'Algérie apparaît comme relais de croissance pour les multinationales (à) on peut même anticiper un afflux d'investissements étrangers en Algérie'', a dit M. Rachid Sekak lors d'un point de presse à Alger. La politique financière menée par l'Algérie, notamment la politique de gestion du taux de change, a permis au pays d'être ''naturellement protégé par rapport à ce qui se passe dans le monde'', a-t-il soutenu. Sur 25 milliards (mds) de dollars (quelque 2.000 mds de DA) d'investissements hors hydrocarbures réalisés en Algérie entre 2007 et fin 2011, un tiers (8,25 milliards de dollars) étaient des IDE (investissements directs étrangers), selon les données officielles. Interrogé sur une éventuelle répercussion de la crise économique mondiale sur les besoins de financement des entreprises algériennes, M. Sekak a répondu que ''nous n'avons jusqu'à présent constaté aucune conséquence dans ce sens, ni négative, ni positive''.
Il a par contre fait remarquer que les augmentations salariales en Algérie ont eu ''un effet positif sur les entreprises, en boostant la consommation de leur produits''. Mais, M. Sekak a refusé de donner le bilan des financements de HSBC en Algérie, se disant ''n'être pas autorisé de répondre'', car le groupe est en train de faire son bilan annuel. Il s'est contenté de noter que le chiffre d'affaires de la succursale algérienne s'affiche en nette croissance en 2012.
Lors d'une conférence qu'elle a animée juste avant le point de presse, Mme. Mathilde Lemoine, Directrice des études économiques et de la stratégie des marchés à HSBC-France, a avancé que l'année 2013 '' s'ouvre sous de meilleurs auspices pour la zone euro et le reste du monde'', soulignant que les équilibres financiers mondiaux resteraient ''instables'' encore pour longtemps.
Dotée d'un capital de 11,3 milliards de DA, la filiale algérienne de HSBC, une des premières banques d'affaires dans le monde, a démarré ses activités en Algérie en 2008. Elle compte actuellement 2.500 clients dont 240 entreprises.