Les premières précipitations ont mis à nu la vétusté des locaux du siège de la municipalité

Les premières gouttes des pluies torrentielles qui se sont abattues sur la ville des Haracta ont rendu les bureaux du siège de la mairie inaccessibles. Les eaux se sont infiltrées de partout et les toits ont cédé.Pour rappel, le siège de la mairie de Aïn-Beïda, la plus grande agglomération, a été réceptionné dans les années 1970.?Depuis cette date, chaque année, les élus optaient pour des opérations de rafistolage.
Par le passé, et lors des visites d'un wali dans les différentes communes, il avait été décidé d'abandonner ces lieux pour le projet d'un nouveau siège digne de ce nom.
A?noter que les eaux n'ont pas épargné les documents, trempés et jetés à même le sol.
Plusieurs citoyens interpellent le wali sur cette situation désolante.
Moussa Chtatha
4?fusils saisis lors d'un cortège nuptial
C'est lors de rondes motorisées organisées par des brigades de la Sûreté de wilaya à travers les boulevards du chef-lieu de wilaya que les policiers sont tombés sur un cortège nuptial où des membres usaient de fusils et tiraient des salves outrepassant les gestes barrières imposés pour éviter la propagation de la pandémie.
Selon le communiqué émanant de la Sûreté de wilaya, 6 personnes ont été conduites au commissariat et ont fait l'objet d'une enquête pour port et usage de fusils de fabrication artisanale sans autorisation et violation des mesures de sécurité.
Les éléments de la police ont agi dans cette opération en collaboration avec les juridictions compétentes, pour traduire les intéressés devant le procureur de la République.
M. C.
Aïn-Fakroun
Arrestation d'un repris de?justice
Les éléments de la police judiciaire de la Sûreté de Aïn-Fakroun ont réussi à neutraliser un repris de justice recherché pour de multiples délits et crimes.
Selon le communiqué transmis par la cellule de communication de la Sûreté de wilaya, c'est le 2 septembre que les policiers l'ont intercepté puis conduit au commissariat, il s'est avéré être derrière plusieurs méfaits.
Le 3 septembre, le mis en cause a fait l'objet d'un dossier judiciaire et a été présenté devant le procureur de la République qui l'a condamné au motif de vol, d'agression et de tentative de meurtre.
M. C.