Suite à l'article qui lui a été consacré et paru jeudi, le Dr Haddouche Ali a tenu à apporter les précisions suivantes :
Concernant les infrastructures,«tout l'Algérois, avec 15 millions d'habitants, compte 100 lits dans les services d'urologie. Il y a un manque de structures d'accueil
- L'hygiène hospitalière est déplorable dans tous les services et n'est pas spécifique à l'urologie.
- J'ai évoqué une vingtaine d'urologues au lieu de 23 pour une activité réduite faute de moyens...
- Contrairement à ce qui a été écrit, l'urétroscope de Tamanrasset est opérationnel. Par contre, celui de Mustapha ne l'est pas encore.
- Concernant l'humanisation de l'acte de soins, il nécessite normalement l'implication de tout le personnel de l'hôpital et pas uniquement le médecin.
- Je n'ai, en aucun cas, voulu viser mes confrères dont on sait dans quelles conditions ils travaillent.
- Les communications scientifiques présentées par les confrères sont basées sur des données mal archivées et non informatisées.
-Â Au lieu de «clochardisation», je voulais parler de l'échec des politiques de santé, basées sur la gratuité des soins.Quant aux perspectives, il y a une génération de jeunes médecins très motivés, très ouverts sur le monde et qui vont booster le métier vers le progrès et la modernité. C'est une note d'espoir. Enfin, une faute de frappe a transformé lignes rouges en liganes.»
Â
-
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Posté Le : 31/10/2010
Posté par : sofiane
Source : www.elwatan.com