A partir des années 2000 l’Algérie, ayant en perspectives les OMD, s’attèle au développement social. En effet longtemps confiée à l’entreprise publique la politique sociale relève désormais des pouvoirs publics centraux. Ces derniers, présidence et gouvernement, en font un devoir pour assurer un minimum de confort pour les nécessiteux; ceux générés par la tension civile ayant régné durant 1992/1997 et par la politique de l’ajustement structurel et ses impacts négatifs sur la société. Cependant l’embellie financière, favorisée par l’augmentation des prix du pétrole, entraine le gouvernement à être de plus en plus généreux et à élargir par la même le champ de la prise en charge sociale à travers plusieurs canaux à la fois. Mais cette approche de la politique sociale est- elle sans incidences sur sa cohérence, notamment au niveau de ses instruments, de son élaboration et de sa mise en œuvre? Tel est la question principale à
laquelle prétend répondre la présente analyse.
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Posté Le : 20/01/2024
Posté par : einstein
Ecrit par : - Touil Ahmed - Bouchaour Radia
Source : Gouvernance & Economie Sociale Volume 1, Numéro 1, Pages 7-24 2015-09-01