Les policiers de l'aéroport tous remplacés Mexico, trafic et corruption

Près de deux mois après la fusillade entre policiers qui a fait deux morts, le gouvernement a décidé de renouveler entièrement ses effectifs dans l'aéroport de Mexico. Une façon de lutter contre la corruption et le trafic de drogue. La police mexicaine a remplacé tous ses agents chargés de la sécurité à l'aéroport international de Mexico, où s'était produit en juin une fusillade entre policiers dans une affaire de trafic de drogue.
Dans un communiqué publié dimanche, le ministère de la Sécurité publique précise que les 348 policiers concernés ont été réaffectés dans d'autres Etats du pays. Ils n'officieront plus dans la capitale mexicaine.
Le 25 juin dernier, dans le terminal 2 de l'aéroport Benito Juarez, trois policiers, impliqués dans un trafic de drogue avec le Pérou, avaient ouvert le feu sur des collègues venus les arrêter et en avaient tué deux, selon la version officielle. L'un des tireurs avait été arrêté le 15 juillet. Les deux autres sont toujours en fuite.
Ces fugitifs ont affirmé au magazine Proceso qu'ils n'avaient aucun lien avec le trafic de drogue et ont au contraire accusé leurs supérieurs d'avoir tenté de les pousser vers le crime organisé. Mexico est le deuxième plus important aéroport d'Amérique latine, avec 24 millions de passagers par an.
Jordanie,
Amman proteste contre les tirs syriens
Une fillette a été blessée dimanche par des tirs de soldats syriens sur le territoire jordanien, a indiqué le ministère jordanien des Affaires étrangères, déclarant qu'il a protesté auprès de l'ambassadeur syrien à Amman.
"Il était inacceptable que des tirs syriens touchent la Jordanie, d'autant que de tels incidents se sont produits à plusieurs reprises ces derniers temps", a dit le porte-parole du gouvernement, Samih al Maayta, ajoutant que "l'armée syrienne porte la responsabilité du contrôle intégral de la frontière, quelle que soit la provenance des tirs".
Des responsables avaient annoncé auparavant que des soldats syriens tiraient sur des réfugiés ainsi que sur des Syriens qui tentaient de faire passer des vivres pour soutenir le soulèvement anti-Assad.
Des dizaines de milliers de Syriens ont traversé la frontière pour se rendre en Jordanie depuis le début du soulèvement.
Près de deux mois après la fusillade entre policiers qui a fait deux morts, le gouvernement a décidé de renouveler entièrement ses effectifs dans l'aéroport de Mexico. Une façon de lutter contre la corruption et le trafic de drogue. La police mexicaine a remplacé tous ses agents chargés de la sécurité à l'aéroport international de Mexico, où s'était produit en juin une fusillade entre policiers dans une affaire de trafic de drogue.
Dans un communiqué publié dimanche, le ministère de la Sécurité publique précise que les 348 policiers concernés ont été réaffectés dans d'autres Etats du pays. Ils n'officieront plus dans la capitale mexicaine.
Le 25 juin dernier, dans le terminal 2 de l'aéroport Benito Juarez, trois policiers, impliqués dans un trafic de drogue avec le Pérou, avaient ouvert le feu sur des collègues venus les arrêter et en avaient tué deux, selon la version officielle. L'un des tireurs avait été arrêté le 15 juillet. Les deux autres sont toujours en fuite.
Ces fugitifs ont affirmé au magazine Proceso qu'ils n'avaient aucun lien avec le trafic de drogue et ont au contraire accusé leurs supérieurs d'avoir tenté de les pousser vers le crime organisé. Mexico est le deuxième plus important aéroport d'Amérique latine, avec 24 millions de passagers par an.
Jordanie,
Amman proteste contre les tirs syriens
Une fillette a été blessée dimanche par des tirs de soldats syriens sur le territoire jordanien, a indiqué le ministère jordanien des Affaires étrangères, déclarant qu'il a protesté auprès de l'ambassadeur syrien à Amman.
"Il était inacceptable que des tirs syriens touchent la Jordanie, d'autant que de tels incidents se sont produits à plusieurs reprises ces derniers temps", a dit le porte-parole du gouvernement, Samih al Maayta, ajoutant que "l'armée syrienne porte la responsabilité du contrôle intégral de la frontière, quelle que soit la provenance des tirs".
Des responsables avaient annoncé auparavant que des soldats syriens tiraient sur des réfugiés ainsi que sur des Syriens qui tentaient de faire passer des vivres pour soutenir le soulèvement anti-Assad.
Des dizaines de milliers de Syriens ont traversé la frontière pour se rendre en Jordanie depuis le début du soulèvement.