Algérie

Les petites bourses à rude épreuve



Les pouvoirs publics ont promis, récemment, aux Algériens la garantie de la disponibilité des produits en quantité suffisante lors du mois sacré, la garantie de la continuité du réseau de distribution et la prémunition contre sa rupture ainsi que le contrôle contre la spéculation, surtout s'agissant des produits les plus prisés durant le Ramadhan.Les pouvoirs publics ont promis, récemment, aux Algériens la garantie de la disponibilité des produits en quantité suffisante lors du mois sacré, la garantie de la continuité du réseau de distribution et la prémunition contre sa rupture ainsi que le contrôle contre la spéculation, surtout s'agissant des produits les plus prisés durant le Ramadhan.
Ce qu'oublient malheureusement ces derniers, c'est que les Algériens ne vivent pas seulement durant ce mois sacré. La question qui mérite d'être posée est : qu'en estil pour le reste de l'année ' Sachant que la vie quotidienne de la majorité des Algériens ne cesse de se dégrader, subissant de plein fouet les conséquences de la crise économique et sanitaire et même celle des commerçants sans foi ni loi. Le topo est partout le même. Les citoyens ne savent même plus à quel saint se vouer. Ainsi, la seule victime reste le pauvre consommateur, le dindon de la farce de cette anarchie commerciale. En dépit de l'assurance totale affichée par les autorités concernées, les prix des denrées alimentaires continuent d'augmenter partout et sur tous les marchés à travers le territoire national.
En effet, les prix des différents produits alimentaires de large consommation ont connu, ces derniers jours, une forte hausse, les augmentations touchent la quasi-totalité des produits. Les fruits, les légumes et les viandes ne dérogent pas à larègle. Cette situation reflète sans doute l'ampleur du marasme dans lequel se trouve le citoyen algérien. Le ministre du Commerce, Kamel Rezig, quant à lui, a justifié cette hausse des prixde certains produits alimentaires par l'augmentation des cours mondiaux, la hausse des coûts logistiques et la baisse du dinar. En revanche, il a assuré que les prix des produits de première nécessité subventionnés par l'état, à l'instar du lait, la semoule, n'ont pas conn d'augmentation, notamment grâce à la surveillance quotidienne des services du ministère. Le service minimum quoi.
Ce qu'oublient malheureusement ces derniers, c'est que les Algériens ne vivent pas seulement durant ce mois sacré. La question qui mérite d'être posée est : qu'en estil pour le reste de l'année ' Sachant que la vie quotidienne de la majorité des Algériens ne cesse de se dégrader, subissant de plein fouet les conséquences de la crise économique et sanitaire et même celle des commerçants sans foi ni loi. Le topo est partout le même. Les citoyens ne savent même plus à quel saint se vouer. Ainsi, la seule victime reste le pauvre consommateur, le dindon de la farce de cette anarchie commerciale. En dépit de l'assurance totale affichée par les autorités concernées, les prix des denrées alimentaires continuent d'augmenter partout et sur tous les marchés à travers le territoire national.
En effet, les prix des différents produits alimentaires de large consommation ont connu, ces derniers jours, une forte hausse, les augmentations touchent la quasi-totalité des produits. Les fruits, les légumes et les viandes ne dérogent pas à larègle. Cette situation reflète sans doute l'ampleur du marasme dans lequel se trouve le citoyen algérien. Le ministre du Commerce, Kamel Rezig, quant à lui, a justifié cette hausse des prixde certains produits alimentaires par l'augmentation des cours mondiaux, la hausse des coûts logistiques et la baisse du dinar. En revanche, il a assuré que les prix des produits de première nécessité subventionnés par l'état, à l'instar du lait, la semoule, n'ont pas conn d'augmentation, notamment grâce à la surveillance quotidienne des services du ministère. Le service minimum quoi.


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