L'Algérie par la promotion de son approche politique en matière de lutte contre les changements climatiques sur les plans, local, régional ou internatioanl, à l'exemple de son rôle jioué dans l'élaboration de la feuiile de route africaine dans le cadre du procesus de négociations en cours sur la scène internatioanale compte peser , au cours de la tenu de l'atelier des Pays Arabes à l'initiative du PNUD, en prévisison de la rencontre de Durban sur les changements climatiques.
« La conférence de Durban sur les changements climatiques qui se prépare actuellement revêt une importance particulière » a souligné hier, le misnitre algérien, des affaires étrangères dans son alocution d'ouverture des travaux de l'atelier sur les changements climatiques et le développement durable au profit des négociateurs de la région Moyen-Orient-Afrique du Nord. Pour notre interlocuteur il sera question au cours des travaux de l'atelier sur le thème précité de faire peuve de responsabilité et de volonté politique de part et d'autre en vue de la réussite du renndez vous de Durban. Ceci d'autant plus que cette rencontre se tient en Afrique du sud, terre africaine, qui subit le plus lkes effets gravissimes des changements climatiques induites par l'intense activité industrièlle des pays riches, desertification, secheresse, catastrophe naturelles, et épuisement des resources en eau... Des dédfis qui se posent avec la même acuité pour les pays arabes, sur le plan local ou collectif sur donf des enjeux qui sont déterminants pour l'avenir et la pérénité des pays arabes. En soulignnat dans son allocution qu'il ya lieu de «sauvegarder le processus de négociations et par ricochet, de préserver le multilatéralisme » et ce souligne-t-il « malgré ces imperfections « il demeure « le cadre idéal de négociations au plan international ». Indiquant à cet occasion que « cette responsabilité » ne se résume pas seulement pour l'objectif de réduction des émission de gaz à effet de serre « mais s'étend à la problèmatique du dévelopement durable ». Plus loin dans son allocution , M. Mourda Medelci indique que la « responsablité historique » des pays riches est engagée au vue des conséquences de leur intenses activités industrièles sur l'ensemble de la planète et particulièrement les pays de la rive sud, d'ou le rôle escompté par ces derniers pour peser sur le cours des négiciations pour façonner la post Kyot,o, contraignants pour les pays riches. Pour sa part M. Cherif Rahmani dans son allocution d'ouverture tout en mettant l'accent sur l'importance des échéances de négociations, de Durban, de l'ONU, et de Rio a souligner que les pays africains et les pays arabes doivent assumer et assurer un rôle «actif » dans le processus en cours sur la scène interntioanale ainsi que l'opinion internationale. Ceci d'autant plus que le rendez vous de Compenhague a monter ces limites et à M.cherif Rahmani d'indiquer que la rencontre de Durban doit être un rendez vous pour « le passge à l'action » à savoir l'adapotion de décissions politqiues eeffectives en matièrte de lutte contre els changements cliamatqiues.
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Posté Le : 11/10/2011
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Karima Bennour
Source : www.lnr-dz.com