Algérie

Les parents d'élèves pour "une solution urgente"



Les parents d'élèves ont observé un sit-in hier, devant le siège de l'académie Est d'Alger. Ils ont pressé les autorités de l'Education à trouver les solutions urgentes pour sauver les examens du premier trimestre et à répondre aux doléances des enseignants.Les parents d'élèves ont observé un sit-in hier, devant le siège de l'académie Est d'Alger. Ils ont pressé les autorités de l'Education à trouver les solutions urgentes pour sauver les examens du premier trimestre et à répondre aux doléances des enseignants.
Il y avait foule hier, devant le siège de l'Académie Est où les parents d'élèves se sont joints au collectif des enseignants grévistes. Sauf que les parents d'élèves ont appelé les autorités à "sauver l'année scolaire pour les écoliers" et à trouver une solution urgente "pour maintenir les examens du premier trimestre", alors que les enseignants ont signifié leur refus de reporter à une date ultérieure les sessions d'évaluation.
C'est une véritable cacophonie qui est enregistrée dans le cycle du primaire où les élèves sont pris en otage depuis plusieurs semaines par un cycle de grève. Partout dans les écoles, les examens n'ont pas été consacrés par les enseignants, qui ont refusé l'appel du ministère à organiser les examens, en contrepartie de discussions sur leurs revendications. Les parents d'élèves, quant à eux, estiment que le ministère de l'Education ne doit pas aller vers le pourrissement. Ils s'insurgent contre le fait que "des sujets de composition très ardus et compliqués, ont été donnés aux élèves qui ont assisté aux examens".
Les parents d'élèves s'insurgent contre le fait que "les sujets ont été confectionnés par les inspecteurs dé l'Education", fait rare lorsqu'il y a une grève. Selon une source concordante, "il n'y a que quelques écoles qui ont préféré organiser leurs sessions d'examens", alors que le mot d'ordre du boycott a été largement suivi. Devant ce dilemme, le parents d'élèves estiment que si "ce trimestre ne sera pas sauvé, l'anarchie sera grande pour les rattrapages". La scolarité des élèves sera grandement perturbée, estiment d'autres qui ne comprennent pas pourquoi les autorités ne veulent pas régler le problème des enseignants grévistes. Il est improbable, vu cette situation, que les enseignants puissent changer d'avis et tout porte à croire, que cette grève ne sera pas annulée, même après les élections.
Il y avait foule hier, devant le siège de l'Académie Est où les parents d'élèves se sont joints au collectif des enseignants grévistes. Sauf que les parents d'élèves ont appelé les autorités à "sauver l'année scolaire pour les écoliers" et à trouver une solution urgente "pour maintenir les examens du premier trimestre", alors que les enseignants ont signifié leur refus de reporter à une date ultérieure les sessions d'évaluation.
C'est une véritable cacophonie qui est enregistrée dans le cycle du primaire où les élèves sont pris en otage depuis plusieurs semaines par un cycle de grève. Partout dans les écoles, les examens n'ont pas été consacrés par les enseignants, qui ont refusé l'appel du ministère à organiser les examens, en contrepartie de discussions sur leurs revendications. Les parents d'élèves, quant à eux, estiment que le ministère de l'Education ne doit pas aller vers le pourrissement. Ils s'insurgent contre le fait que "des sujets de composition très ardus et compliqués, ont été donnés aux élèves qui ont assisté aux examens".
Les parents d'élèves s'insurgent contre le fait que "les sujets ont été confectionnés par les inspecteurs dé l'Education", fait rare lorsqu'il y a une grève. Selon une source concordante, "il n'y a que quelques écoles qui ont préféré organiser leurs sessions d'examens", alors que le mot d'ordre du boycott a été largement suivi. Devant ce dilemme, le parents d'élèves estiment que si "ce trimestre ne sera pas sauvé, l'anarchie sera grande pour les rattrapages". La scolarité des élèves sera grandement perturbée, estiment d'autres qui ne comprennent pas pourquoi les autorités ne veulent pas régler le problème des enseignants grévistes. Il est improbable, vu cette situation, que les enseignants puissent changer d'avis et tout porte à croire, que cette grève ne sera pas annulée, même après les élections.


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