Algérie

Les parents d'élèves dénoncent l'arnaque



Certains établissements et écoles privées demandent aux parents de payer les frais de scolarité du troisième trimestre, indique l'Association de protection et d'orientation du consommateur et de son environnement (APOCE).Certains établissements et écoles privées demandent aux parents de payer les frais de scolarité du troisième trimestre, indique l'Association de protection et d'orientation du consommateur et de son environnement (APOCE).
En effet, l'organisation indique qu'elle a reçu "des dizaines de réclamations de parents d'élèves scolarisés dans des écoles privées, concernant les demandes de ces établissements de payer la dernière tranche des frais de scolarité". Ces demandes interviennent alors que ces écoles restent fermées pour cause des mesures préventives contre la propagation de l'épidémie du coronavirus, entreprises par le gouvernement. "Les services de ces établissements ne se limitent pas qu'à l'enseignement, mais ça concerne aussi la restauration, le gardiennage, les cours de rattrapage ? ", souligne l'APOCE. Comment exiger aux parents de payer les frais du 3e trimestre, alors que "les élèves n'ont pas bénéficié de ces prestations '", s'interroge
l'organisation. "Obliger les parents à payer ces prestations, est une mesure abusive", ajoute l'association. Notant que certains établissements "menacent de ne pas remettre les dossiers scolaires des élèves aux parents".Face à cette situation, l'APOCE propose de payer un tiers des frais du 3e trimestre, pour permettre aux établissements de couvrir les charges fixes. Et promet aux parents de les accompagner dans toutes les procédures concernant cette affaire. Reste que les parents d'élève ne voient pas la proposition de l'APOCE comme une solution "nous sommes aussi partie prenante de cette société, les parents aussi passent par cette crise sanitaire et économique, pour la plupart d'entre nous, nous sommes au chômage et il est inadmissible de demander ne serait-ce qu'un dinar à des parents sans aucun sous et pour ne rien avoir en retour.
Puis il est évident que les mois passés les parents ont largement payé pour au moins couvrir les salaires des enseignants, puisque ces derniers sont brandit par ces écoles pour jouer avec nos sentiments. Alors que nous savons pertinemment, qu'un mois payé par une classe de parents couvrent largement une année salaire d'un professeur. Il est inutile de souligner aussi que ces mêmes enseignants sont pour la pluparts des retraités de l'éducation nationale. Sommes-nous obligé de payer pour une crise que nous n'avions pas voulu et à quoi dans ce cas sert les assurances que nous payons et qui arrives jusqu'à 50.000 dinars par enfant, alors que l'assurance des élèves des écoles publiques ne dépassent pas les 1.000 dinars ' Sommes-nous obligé à se sacrifier fautes de véritables lois et réglementations qui doivent régir le secteur privée de l'éducation '", s'insurge Narimène sur la page officielle de l'APOCE.
En effet, l'organisation indique qu'elle a reçu "des dizaines de réclamations de parents d'élèves scolarisés dans des écoles privées, concernant les demandes de ces établissements de payer la dernière tranche des frais de scolarité". Ces demandes interviennent alors que ces écoles restent fermées pour cause des mesures préventives contre la propagation de l'épidémie du coronavirus, entreprises par le gouvernement. "Les services de ces établissements ne se limitent pas qu'à l'enseignement, mais ça concerne aussi la restauration, le gardiennage, les cours de rattrapage ? ", souligne l'APOCE. Comment exiger aux parents de payer les frais du 3e trimestre, alors que "les élèves n'ont pas bénéficié de ces prestations '", s'interroge
l'organisation. "Obliger les parents à payer ces prestations, est une mesure abusive", ajoute l'association. Notant que certains établissements "menacent de ne pas remettre les dossiers scolaires des élèves aux parents".Face à cette situation, l'APOCE propose de payer un tiers des frais du 3e trimestre, pour permettre aux établissements de couvrir les charges fixes. Et promet aux parents de les accompagner dans toutes les procédures concernant cette affaire. Reste que les parents d'élève ne voient pas la proposition de l'APOCE comme une solution "nous sommes aussi partie prenante de cette société, les parents aussi passent par cette crise sanitaire et économique, pour la plupart d'entre nous, nous sommes au chômage et il est inadmissible de demander ne serait-ce qu'un dinar à des parents sans aucun sous et pour ne rien avoir en retour.
Puis il est évident que les mois passés les parents ont largement payé pour au moins couvrir les salaires des enseignants, puisque ces derniers sont brandit par ces écoles pour jouer avec nos sentiments. Alors que nous savons pertinemment, qu'un mois payé par une classe de parents couvrent largement une année salaire d'un professeur. Il est inutile de souligner aussi que ces mêmes enseignants sont pour la pluparts des retraités de l'éducation nationale. Sommes-nous obligé de payer pour une crise que nous n'avions pas voulu et à quoi dans ce cas sert les assurances que nous payons et qui arrives jusqu'à 50.000 dinars par enfant, alors que l'assurance des élèves des écoles publiques ne dépassent pas les 1.000 dinars ' Sommes-nous obligé à se sacrifier fautes de véritables lois et réglementations qui doivent régir le secteur privée de l'éducation '", s'insurge Narimène sur la page officielle de l'APOCE.


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