Algérie

Les ordures à la mairie Collectivité locales :



Au 18 jours de la campagne électorale les choses se précisent et les responsabilités des élus locaux resurgissent comme dirait Jaqueline Arnaud « d'entre les herbes de l'oubli » .Ainsi et loin de discours et propos politiciens le directeur de la politique environnementale et urbaine au ministère de l'aménagement du territoire et de l'environnement est revenu sur l'une des prérogatives de Monsieur le maire qui est entre autre la problématique des déchets
Il s'agit précisément de la gestion des centres d'enfouissement technique .Elle incombe selon M. Tahar Tolba aux présidents des assemblées populaires communales (APC).Etant « l'invité de la rédaction » de la matinale d'Alger chaîne 3 ce responsables n'a pas mâché ses mots pour dénoncer la perte d'une de nos ressources .Pour information qu'ils soient ménagers ou industriels et par ricochet organiques chimiques ou physiques les déchets regorgent de richesse .Une première évaluation faite par M. Tahar Tolba en direct sur les ondes de la 3 donne la température ou plutôt la quantité de l'argent jeté .Le pactole est selon la même source et relayée par l'APS de 2MDS de DA par an . Le comble de l'oublie ou du laxisme et que ces déchets passent dans nos poubelles pour atterrir soit dans des décharges sauvages ou en bonne et du forme dans des décharges publiques pour être enfouis dans les fins fonds de notre terre et donc oubliée a jamais .Pour M .Tolba c'est bel bien un manque à gagner puisque seulement 2% de ce gisement est exploité .Pour expliquer le pourquoi et le comment de cette érosion de nos richesses le directeur de la politique environnementale et urbaine au ministère de l'aménagement du territoire et de l'environnement a fait état du manque des entreprises de récupération .Celles-ci même sont selon l'intervenant conditionnée par des transformateurs .Pour ce qui en est des déchets recyclables donc pourvoyeurs de richesses et source d'emploi, s'il en est ! Il sont assez variés :Il en va du plastique (notamment les bouteilles d'eau minérale), du papier ,du carton, des pneus, du verre à base du calcin, qui "une ressource supplémentaire aux collectivités Locales" .D'ou
L'intérêt du tri .Alors que dans d'autres lieux et sous d'autres cieux la pratique est courante, chez nous elle peine à se mettre sur les rails faute de civisme et d'information .Pour l'invité de la rédaction le tri doit se faire au niveau des ménages non sans être appuyé par de la sensibilisation .Le but étant d'assimiler cette pratique de façon quotidienne dans tous les foyers .Il faut savoir que cet absence de tri de la part des ménages "coûte cher à la communauté". Aujourd'hui et face à cette dérive civique l'outil juridique bien que présent semble être impuissant .N' est-il suffisamment efficient ou c'rcitif ' Toujours est-il De ce coté-ci M. Tolba informe que la loi prévoit une "contribution populaire" sous forme de taxe de recouvrement des déchets à un prix compris entre 500 DA à 1000 DA/an par ménage. Il a déploré l'irrespect de cette taxe par tous les ménages alors qu'elle pourrait Couvrir de 25% à 30% du coût du transport des déchets ménagers. De la sorte Monsieur le maire ou prétendant comme tel , à quelques jours du vote peut promettre un programme pour une commune plus propre étant donné qu'on le sait maintenant que les centres d'enfouissement sont sous leur responsabilité et les impôts sont payés à la mairie aussi Pour information au bout d'un an le volume des déchets est de l'ordre de 10 millions de tonnes contre 17 millions de tonnes d'ici à 2020 .En Algérie il existe 120 centres d'enfouissement technique en chantier, 60 sont prêts à l'exploitation, 54 le sont en cours. D'autres sont en route : 28 centres sont en construction et 37 sont en phase d'étude. Dans tous ce pourrait ressembler à un pré bilan et situer les centres d'enfouissement il faut savoir qu'ils sont intercommunaux (regroupent plusieurs communes), leur opérabilité est limitée dans le temps .Néanmoins et d'après M. Tolba elle pourrait être reconduite avec des techniques de récupération. Pour ce qui en est du centre d'enfouissement technique de Ouled Fayet il sera fermé en 2013.Il sera relayé par celui de Hamissi (Corso, wilaya de Boumerdès) .Son étude est achevée et le choix de l'entreprise est fait, a relevé M. Tolba. De son coté la décharge publique de Oued Smar (Aler-est) est bouclée Depuis le 5 juin. Etalée sur 204 hectares ils seront aménagés en parc naturel.
Au 18 jours de la campagne électorale les choses se précisent et les responsabilités des élus locaux resurgissent comme dirait Jaqueline Arnaud « d'entre les herbes de l'oubli » .Ainsi et loin de discours et propos politiciens le directeur de la politique environnementale et urbaine au ministère de l'aménagement du territoire et de l'environnement est revenu sur l'une des prérogatives de Monsieur le maire qui est entre autre la problématique des déchets
Il s'agit précisément de la gestion des centres d'enfouissement technique .Elle incombe selon M. Tahar Tolba aux présidents des assemblées populaires communales (APC).Etant « l'invité de la rédaction » de la matinale d'Alger chaîne 3 ce responsables n'a pas mâché ses mots pour dénoncer la perte d'une de nos ressources .Pour information qu'ils soient ménagers ou industriels et par ricochet organiques chimiques ou physiques les déchets regorgent de richesse .Une première évaluation faite par M. Tahar Tolba en direct sur les ondes de la 3 donne la température ou plutôt la quantité de l'argent jeté .Le pactole est selon la même source et relayée par l'APS de 2MDS de DA par an . Le comble de l'oublie ou du laxisme et que ces déchets passent dans nos poubelles pour atterrir soit dans des décharges sauvages ou en bonne et du forme dans des décharges publiques pour être enfouis dans les fins fonds de notre terre et donc oubliée a jamais .Pour M .Tolba c'est bel bien un manque à gagner puisque seulement 2% de ce gisement est exploité .Pour expliquer le pourquoi et le comment de cette érosion de nos richesses le directeur de la politique environnementale et urbaine au ministère de l'aménagement du territoire et de l'environnement a fait état du manque des entreprises de récupération .Celles-ci même sont selon l'intervenant conditionnée par des transformateurs .Pour ce qui en est des déchets recyclables donc pourvoyeurs de richesses et source d'emploi, s'il en est ! Il sont assez variés :Il en va du plastique (notamment les bouteilles d'eau minérale), du papier ,du carton, des pneus, du verre à base du calcin, qui "une ressource supplémentaire aux collectivités Locales" .D'ou
L'intérêt du tri .Alors que dans d'autres lieux et sous d'autres cieux la pratique est courante, chez nous elle peine à se mettre sur les rails faute de civisme et d'information .Pour l'invité de la rédaction le tri doit se faire au niveau des ménages non sans être appuyé par de la sensibilisation .Le but étant d'assimiler cette pratique de façon quotidienne dans tous les foyers .Il faut savoir que cet absence de tri de la part des ménages "coûte cher à la communauté". Aujourd'hui et face à cette dérive civique l'outil juridique bien que présent semble être impuissant .N' est-il suffisamment efficient ou c'rcitif ' Toujours est-il De ce coté-ci M. Tolba informe que la loi prévoit une "contribution populaire" sous forme de taxe de recouvrement des déchets à un prix compris entre 500 DA à 1000 DA/an par ménage. Il a déploré l'irrespect de cette taxe par tous les ménages alors qu'elle pourrait Couvrir de 25% à 30% du coût du transport des déchets ménagers. De la sorte Monsieur le maire ou prétendant comme tel , à quelques jours du vote peut promettre un programme pour une commune plus propre étant donné qu'on le sait maintenant que les centres d'enfouissement sont sous leur responsabilité et les impôts sont payés à la mairie aussi Pour information au bout d'un an le volume des déchets est de l'ordre de 10 millions de tonnes contre 17 millions de tonnes d'ici à 2020 .En Algérie il existe 120 centres d'enfouissement technique en chantier, 60 sont prêts à l'exploitation, 54 le sont en cours. D'autres sont en route : 28 centres sont en construction et 37 sont en phase d'étude. Dans tous ce pourrait ressembler à un pré bilan et situer les centres d'enfouissement il faut savoir qu'ils sont intercommunaux (regroupent plusieurs communes), leur opérabilité est limitée dans le temps .Néanmoins et d'après M. Tolba elle pourrait être reconduite avec des techniques de récupération. Pour ce qui en est du centre d'enfouissement technique de Ouled Fayet il sera fermé en 2013.Il sera relayé par celui de Hamissi (Corso, wilaya de Boumerdès) .Son étude est achevée et le choix de l'entreprise est fait, a relevé M. Tolba. De son coté la décharge publique de Oued Smar (Aler-est) est bouclée Depuis le 5 juin. Etalée sur 204 hectares ils seront aménagés en parc naturel.


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