Les nouvelles filières qui séduisent les jeunes

Un coup de balai a été donné cette année pour introduire de nouvelles spécialités dans la formation professionnelle.Un coup de balai a été donné cette année pour introduire de nouvelles spécialités dans la formation professionnelle.Le marketing, l'informatique, techniques de bâtiment et nouveaux métiers industriels sont apparemment les filières les plus convoitées. En tout et pour tout, près de 420 spécialités ont été introduites à la faveur de la réforme introduite dans le secteur.Les formations classiques comme la maçonnerie, pâtisserie et coiffure ne séduisent plus les jeunes qui s'orientent vers d'autres créneaux, là où les débouchés sont sûrs. La nouvelle nomenclature de la formation a été renforcée cette année par l'introduction de 11 spécialités qui s'adaptent aux nouveaux besoins économiques du pays.Ainsi, selon le ministère de la Formation et de l'Enseignement professionnel, ces filières neuves concernent la réhabilitation du vieux bâti avec une formation diplômante où les stagiaires recevront leurs formations en stage pratique dans les chantiers qui ont été initiés dans les grandes villes. Tout comme la formation de la plomberie industrielle, les techniques d'agro-alimentaires et le montage des véhicules qui sera assuré au niveau des ateliers industriels des usines des constructeurs.La demande se manifeste déjà pour ces créneaux selon des responsables du secteur de la formation professionnelle. "Il sera question de mettre le paquet sur des centres d'excellence pour les stagiaires et selon la demande de la formation". Les effectifs qui ne cessent d'évoluer ont atteint près de 600.000 stagiaires pour toutes les spécialités confondues.Les différents centres à travers le territoire national ont été rénovés et d'autres sont en voie de l'être pour la prochaine rentrée. Le ministère de tutelle mise aussi sur l'intervention de professionnels tels que les ingénieurs et spécialistes aguerris dans des domaines nouveaux.Les jeunes stagiaires préfèrent de nouvelles filières qui les mettront plus tard à disponibilité sur le marché du travail. Il en est ainsi pour le marketing, l'informatique et maintenance et les métiers industriels sans oublier les nouveaux profils pour l'agriculture. D'ailleurs, le ministre Mohamed Mebarki a annoncé dernièrement l'inauguration en février prochain d'un centre d'excellence de formation aux métiers de l'énergie et de l'électricité à Rouïba en partenariat avec les français.Ce nouveau centre d'une capacité de 300 places pédagogiques "assurera des formations TS en électrotechnique. Il sera inauguré à l'occasion de la rentrée professionnelle de février 2016" a indiqué, M. Zegnoun responsable de la formation au sein du ministère.Dans le même cadre, le secteur bénéficiera cette année d'un institut national spécialisé dans les technologies de l'information et de la communication (TIC) à Bou Ismaïl, à Tipasa. Il s'agit selon un responsable d'un institut leader en matière de formation des TIC avec une formation qui sera assurée par des encadreurs de haut niveau.Le marketing, l'informatique, techniques de bâtiment et nouveaux métiers industriels sont apparemment les filières les plus convoitées. En tout et pour tout, près de 420 spécialités ont été introduites à la faveur de la réforme introduite dans le secteur.Les formations classiques comme la maçonnerie, pâtisserie et coiffure ne séduisent plus les jeunes qui s'orientent vers d'autres créneaux, là où les débouchés sont sûrs. La nouvelle nomenclature de la formation a été renforcée cette année par l'introduction de 11 spécialités qui s'adaptent aux nouveaux besoins économiques du pays.Ainsi, selon le ministère de la Formation et de l'Enseignement professionnel, ces filières neuves concernent la réhabilitation du vieux bâti avec une formation diplômante où les stagiaires recevront leurs formations en stage pratique dans les chantiers qui ont été initiés dans les grandes villes. Tout comme la formation de la plomberie industrielle, les techniques d'agro-alimentaires et le montage des véhicules qui sera assuré au niveau des ateliers industriels des usines des constructeurs.La demande se manifeste déjà pour ces créneaux selon des responsables du secteur de la formation professionnelle. "Il sera question de mettre le paquet sur des centres d'excellence pour les stagiaires et selon la demande de la formation". Les effectifs qui ne cessent d'évoluer ont atteint près de 600.000 stagiaires pour toutes les spécialités confondues.Les différents centres à travers le territoire national ont été rénovés et d'autres sont en voie de l'être pour la prochaine rentrée. Le ministère de tutelle mise aussi sur l'intervention de professionnels tels que les ingénieurs et spécialistes aguerris dans des domaines nouveaux.Les jeunes stagiaires préfèrent de nouvelles filières qui les mettront plus tard à disponibilité sur le marché du travail. Il en est ainsi pour le marketing, l'informatique et maintenance et les métiers industriels sans oublier les nouveaux profils pour l'agriculture. D'ailleurs, le ministre Mohamed Mebarki a annoncé dernièrement l'inauguration en février prochain d'un centre d'excellence de formation aux métiers de l'énergie et de l'électricité à Rouïba en partenariat avec les français.Ce nouveau centre d'une capacité de 300 places pédagogiques "assurera des formations TS en électrotechnique. Il sera inauguré à l'occasion de la rentrée professionnelle de février 2016" a indiqué, M. Zegnoun responsable de la formation au sein du ministère.Dans le même cadre, le secteur bénéficiera cette année d'un institut national spécialisé dans les technologies de l'information et de la communication (TIC) à Bou Ismaïl, à Tipasa. Il s'agit selon un responsable d'un institut leader en matière de formation des TIC avec une formation qui sera assurée par des encadreurs de haut niveau.